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Baptême de Urbain Tessier
Le sixième jour de février mil six cent vingt-six fut baptisé en Notre-Dame église de Breil par nous curé soussigné, Urbain Tessier fils de Arthur Tessier charpentier et de Jeanne Mesmi de cette paroisse, et fut parrain Urbain Maloy charpentier, la marraine Perrine Fesneau femme de César Morin tailleur d'habits aussi de cette paroisse lesquels ont déclaré ne savoir signer. M. Leseurre prêtre.[1] Transcrit par Givogue-4[2]
Mariage entre Urbain Tessier avec Marie Archambault
Le 28 septembre 1648, les bans ayant été au préalable publiés par nous le … 1er, le 21 de ce moi jour de septembre en la grand messe et a … et le 3e, le 27 du même moi et ay a la grand messe et ne s’étant trouvé aucun empêchement légitime je P. Bartelemy Vimont faisant l’office de curé en la paroisse de Québec a interrogé Urbain Tessier fils de d’Arthur Tessier et de Jeanne Mémie ses père et mère de la paroisse de Chasteau en Anjou, et Marie Archambault fille de Jacques Archambault et Françoise Tourneau de la paroisse de Québec ses père et mère et ay reçu leur mutuel consentement par parole en … …mariés en la sainte église en présence de témoins connus Jean Bourdon, Robert Giffart, Nicolas Goupil.[3] Transcrit par Givogue-4[4]
Enfants/Children
Sépulture de Urbain Tessier
Le 24 mars 1689 a été enterré dans le cimetière Urbain Texier après avoir reçu tous les sacrements âgés d’environ 70 ans. E. Guyotte curé.[6] Transcrit par Givogue-4[7]
Urbain Tessier dit Lavigne (1625-1689). D'hier à aujourd'hui.
Chaque été, des milliers d'Américains arpentent les rues étroites et ombragées du Vieux-Montréal en quête de divertissement et d'un peu d'histoire. Au cours de leur excursion, nombreux sont ceux qui s'arrêtent à la Place d'Armes. Ils font alors le tour du monument érigé à la mémoire du fondateur de Montréal, le Sieur de Maisonneuve, passant devant la sculpture de Lambert Closse et son fameux chien Pilote sans trop leur porter d'attention, pour ensuite se rendre à l'église Notre-Dame où la douce lumière et l'atmosphère de recueillement de l'endroit les apaisent, le temps de leur visite. Cependant, quelques-uns d'entre eux se dirigent plutôt vers le building du Royal Trust Compagny, faisant face à l'église, sur la rue St-Jacques, au coin nord-ouest de la Côte de la Place d'Armes, pour lire une inscription taillée dans la pierre de la façade :
Cet édifice a été construit sur une partie de terre concédée initialement à Urbain Tessier dit Lavigne. Il s'agissait de la 8 ième concession faite à un citoyen de l'île de Montréal. [8]
Ces quelques lecteurs curieux, en provenance de New York, veulent comprendre pourquoi leurs arrières-grands-parents Lavigne ont bien pu entreprendre au début du 20 e siècle un procès pour revendiquer la propriété de cette Place d'Armes. Ils connaissent peu de choses de leur ancêtre français, le premier Tessier dit Lavigne à avoir traversé l'Atlantique.
Fils d'Arthur Tessier et de Jeanne Même, Urbain Tessier dit Lavigne est né vers 1625 à Château en Anjou, maintenant appelé Château-la-Vallière et situé à une centaine de kilomètres à l'ouest de La Rochelle d'où il serait parti pour la Nouvelle-France. Il a probablement été recruté par Jérôme Le Royer de La Dauversière, un des artisans de la fondation de Montréal. Pour trouver de futurs colons prêts à s'exiler dans un pays qui n'existe pas, couvert de forêts et où les indigènes représentent une menace constante, Le Royer a ratissé une bonne partie de la campagne environnant Château-en-Anjou. Urbain Tessier dit Lavigne arrive seul, sans famille, en Nouvelle-France, plus précisément à Ville-Marie. Nous ne savons pas précisément quand. Il n'aurait pas fait partie du premier arrivage de 1642 avec les 52 premiers Montréalistes du groupe de Maisonneuve et Jeanne Mance, puisque le 4 septembre 1641 il aurait participé, en tant que parrain, au baptême du premier enfant de son frère Jean, à Château-La-Vallière .
Au plus tard, Urbain Tessier met les pieds dans la colonie en 1647 puisqu'en janvier 1648 Maisonneuve lui concède une terrain dans l'enceinte fortifiée, où il se construit une maison qui accueillera en septembre suivant sa femme, Marie Archambault, âgée de 12 ans et sept mois, qu'il est allé marier à Québec.
Urbain Tessier dit Lavigne est le premier de 16 Tessier qui ont migré en Nouvelle-France, dont neuf dénommés Tessier, un Tessier-Marquis, un Tessier-Ringuet-Laplante, un Tessier-Laliberté, un Tessier-Laforest, un Tessier-Nicol et un Tessier-Latulipe. Parmi ces nouveaux arrivants, Urbain est celui qui a le plus grand nombre d'enfants (16) et le plus grand nombre de fils qui se marieront, soit sept. En 1730, il a 420 descendants connus et se situe au 39e rang de tous les pionniers de la Nouvelle-France, alors que les autres Tessier sont loin derrière : Marc Tessier, 47 descendants connus (957 e rang); Mathurin Tessier, 36 descendants (1 146 e rang) ; etc.
S'ils poursuivaient leur randonnée, les cousins américains pourraient mieux connaître leur ancêtre. Ainsi, en remontant la rue St-Denis, ils s'arrêteraient à L'Échange , une librairie de livres d'occasion où ils trouveraient un vieil exemplaire de l'Histoire d'Outremont (1875-1975) de Robert Rumilly et y liraient un éloge, plutôt pompeux, de leur ancêtre :
«on distingue, parmi les jeunes Montréalais de l'époque héroïque, deux sortes de tempéraments. Les coureurs de bois s'enfoncent dans la forêt au-devant des Sauvages (.). Les chefs civils les encouragent, car ces jeunes gens férus d'aventure et de liberté rendent d'inestimables services comme explorateurs, comme guides, comme interprètes. Les défricheurs, plus sédentaires, ne sont pas moins courageux, car les terribles Iroquois foncent à l'improviste sur les colons isolés ou sur les petits groupes, et les prisonniers, promis à des supplices atroces, sont plus à plaindre que les tués. Les chefs religieux encouragent les défricheurs qui fondent des familles et jettent les bases d'une colonie stable. Urbain Tessier dit Lavigne, son beau-frère Jean Gervaise et Louis Prudhomme appartiennent à l'espèce des défricheurs. (.) Les Iroquois ont incendié sa maison, à peine construite. Urbain Tessier a pris sa revanche, à l'avant-garde dans maints combats.»
Mais il a perdu un de ses combats durant l'hiver 1661. Fait prisonnier avec cinq autres colons qu'il avait engagés pour défricher sa terre, alors que quatre autres montréalistes sont tués, Urbain est emmené à Onnontagué, au sud-est du lac Ontario, la capitale de l'Iroquoisie. Trois mois après son enlèvement, sa femme accouche d'un septième enfant, un quatrième garçon. Dans l'acte de baptême, on peut lire que « Le 7 ème juin a été baptisé Urbain, fils d'Urbain Tessier, habitant, pris par les Iroquois, le 24 mars dernier, et on ne sait pas s'il est mort ou en vie».
La captivité d'Urbain est difficile, il est tourmenté. En témoigne un extrait des Relations de 1662, écrit dans le pur style des Jésuites de l'époque et où Urbain serait tenté de faire la guerre aux côtés des Iroquois:
«Un d'eux avant l'arrivée du Père (Simon Lemoyne) se laissant aller au mauvais exemple, était tout prêt de s'abandonner au vice, et d'embrasser la vie de Sauvage, ayant déjà lié partie avec quelques Iroquois pour les accompagner en guerre : Il est vrai que Dieu le retenait toujours comme par la main, disons plutôt par un doigt, qui lui ayant été coupé au commencement de sa prise, ne se guérissait point, quoi qu'on y eût appliqué tous les remèdes ordinaires. Le Père, arrivant, remédia à sa plus grande maladie, lui conseillant quelques dévotions envers la sainte Vierge, qui eurent un si bon effet qu'en peu de jours il fut délivré de sa tentation, et guéri du mal qu'il avait en la main depuis plus de six mois. Il a ensuite fort bien employé cette main, en quelque façon miraculeuse, s'en servant à baptiser les enfants, que non seulement il cherchait dans toutes les caravanes, mais qu'il allait encore attendre au passage les caravanes des Sonnontoeronnons (Tsonnontouans), qui vont en grandes bandes, en traite, de peur d'être rencontrés de leurs ennemis. Il arrêtait donc toutes les mères avec leurs enfants dans quelque défilé, et les savait si bien gagner qu'en peu de temps il a baptisé plus de soixante enfants, dont la plupart sont morts de la maladie courante. »
Sa captivité, l'éloignement, l'angoisse, l'attente se terminent après 17 longs mois lors d'un échange de prisonniers entre les Français et les Iroquois négocié par le chef Garakontié et le père Lemoyne.
Mais ce qui intéresse surtout les cousins américains, ce sont les Archives nationales du Québec où, selon des membres de la famille, un fond contient des dossiers sur leur ancêtre. Ils s'acheminent donc vers la rue Viger. Habités par la curiosité et l'incrédulité, ils déroulent des plans de section de la ville, faisant près de deux pieds sur quatre, que leur a fourni un documentaliste insensible à leur excitation. En scrutant ces grandes feuilles bleutées, ils froncent les sourcils, s'interrogent et tentent de transposer ce qu'ils y voient avec ce qu'ils ont vu pendant leur randonnée dans les rues de la ville. La tâche n'est pas simple puisqu'un de ces plans superpose la terre d'Urbain Tessier dit Lavigne, concédée par Maisonneuve , avec le découpage des rues du Montréal de 1929 et que depuis, plusieurs de ces rues ont été renommées. Ce plan comme d'autres d'ailleurs a été élaboré par l'ingénieur et arpenteur-géomètre Séraphin Ouimet pour le fameux procès de leurs arrières-grands-parents. Et quarante ans plus tard, en 1971, le ministère de la Justice les a déposés aux Archives nationales.
Avec ces cartes, d'un coup d'oeil, ils peuvent saisir toute l'étendue des 30 arpents (environ 950 000 pieds carrés) que possédait leur ancêtre. Imaginez que sur une partie de l'actuel Palais des congrès fleurissait il y a 350 ans le potager de la famille d'Urbain! Imaginez qu'au fond de sa «terre en bois debout» se dresse maintenant la Place des Arts! Imaginez que sur ses anciennes cultures de maïs et de blé ont poussé les tours du Complexe Desjardins, celles de la Place Guy-Favreau et du siège social d'Hydro-Québec! Imaginez que chaque jour, plusieurs milliers de travailleurs, de touristes ou de simples badauds circulent dans la station de métro Place-d'Armes, sous sa terre, quelque part dans les racines de ses anciennes cultures!
Cette terre idyllique s'étendait des deux côtés de l'actuelle rue St-Urbain, au sud du boulevard de Maisonneuve et au nord de la rue St-Jacques. La rue Saint-Urbain ainsi nommée à la mémoire de leur ancêtre était à l'origine le chemin qu'il a défriché pour accéder à sa terre et sur lequel il a dû construire un pont pour franchir la Petite Rivière maintenant asséchée et devenue la rue St-Antoine. Ainsi, dès 1668, le gouverneur de la ville, Charles D'Ailleboust, ordonne que l'accès aux chemins des coteaux Saint-Louis et Sainte-Marie « passera par le pont de Tessier-Lavigne».
Au fil du temps, cette rue St-Urbain s'est allongée, si bien qu'aujourd'hui elle relie le fleuve St-Laurent à la rivière des Prairies et partage ainsi l'Île de Montréal presqu'en deux parties égales. Urbain, rue St-Urbain, un juste retour des choses! Le prénom de cet ancêtre vient-il du fait que le pape qui siégeait à sa naissance s'appelait Urbain VIII? Indique-t-il que ses parents étaient de fervents catholiques ou était-ce simplement un prénom courant à l'époque? Un autre pape, Urbain V (1310-1370), d'origine française celui-là, serait-il à l'origine de l'usage de ce prénom? Que de questions sans réponses! Un autre plan illustre le détail du partage de la terre d'Urbain entre ses nombreux héritiers lors de son décès en 1689 à l'âge de 64 ans. Qui de Paul, de Jacques, de Pétronille, de Jean, Ignace, Jean-Baptiste ou de Louise Tessier est leur ancêtre? Qu'est-il advenu de la propriété de cette terre au cours des trois derniers siècles? Un document de 225 pages élaboré en 1929 et 1930 par l'archiviste et historien E. Z. Massicotte fournit certaines réponses, soit l'inventaire des actes notariés et autres documents concernant les biens immeubles d'Urbain Tessier dit Lavigne et de ses descendants, ainsi que les emplacements de la place d'Armes et de l'église Notre-Dame . Toutes les transactions ont été faites selon les règles de l'art. C'est probablement ce qui explique pourquoi le procès n'a finalement jamais abouti et que les grands gagnants ont probablement été les avocats qui défendaient cette cause[9] [10].
Urbain Tessier dit Lavigne Un des ancêtres des Tessier d'Amérique Plusieurs Tessier vinrent au pays et firent souche, soit : la lignée de Pierre Tessier/Texier, celle de Marc Tessier/Texier, celle de Mathurin Tessier/Texier, de Jacques Tessier dit LeMarquis, Mathieu Tessier/Texier/Éringué dit Laplante et celui que nous retiendrons ici, Urbain Tessier dit Lavigne. Tout d'abord, cet ancêtre des Tessier, Urbain Tessier dit Lavigne, serait de part sa descendance l'un, sinon le plus important ancêtre Tessier qui fit souche. Il fut l'un des pionniers de Montréal et l'un des plus importants citoyens de Ville-Marie à son époque.
Urbain Tessier est né en 1624, à Château, en Anjou. Plusieurs années plus tard, le plus ancien document qui révèle sa présence en Nouvelle-France est la première concession que lui signe M. de Maisonneuve le 10 janvier 1648. À Québec, le 28 septembre 1648, il épousait Marie Archambault. Leur voyage de noces consista à remonter le fleuve à la rame jusqu'à Montréal où la vie continua comme elle avait commencé. Urbain pratiquait un métier rude, mais très recherché, il exerçait le métier de scieur de long, sans compter sa terre qu'il cultivait en même temps. En ce temps, la scie mécanique n'existait pas encore et la planche à bâtir se faisait à la main. L'ancêtre Urbain Tessier vécut une expérience peu banale, car en mars 1661, alors qu'il travaillait sur l'une des corvées qu'on organisait dans le temps, il fut capturé par les iroquois, avec trois autres de ses amis. Marguerite Bourgeois parle incidemment des supplices terribles qu'ils endurèrent, sans compter l'inquiétude extrême de laisser chacune de leur famille livrée à elle-même, surtout dans ces années là. L'ancêtre, homme d'un physique robuste, ne s'en laissait pas imposer. Il paraît aussi que la vie de famille comptait énormément pour lui. Urbain et Marie firent baptisés seize enfants, entre les années 1649 et 1679. Mais six moururent en bas âge et dix, dont sept garçons, contractèrent mariage. Après une vie de dur labeur, l'aïeul décédait le 21 mars 1689, à Montréal. Son épouse, Marie Archambault, lui survécut encore plusieurs années et s'éteignit le 16 août 1719, à Pointe-aux-Trembles. Les descendants du couple Tessier/Archambault se firent connaître sous les noms de Lavigne et de Tessier, au Québec surtout, et aussi en Nouvelle-Angleterre et dans l'Ouest canadien. Notons pour conclure qu'à la septième génération, Moïse, un marchand de Montréal a donné au pays trois fils qui furent des musiciens remarquables : Arthur, né en 1845, fonda l'École de Musique de l'Université Laval et forma plusieurs artistes ; Horace-Emery étudia l'orgue à Montréal et à Paris ; Ernest, virtuose et compositeur, fonda en 1889, l'orchestre de Montréal et dirigea pendant plus de vingt ans des concerts publics, au parc Viger de Montréal. Source: Le Centre de généalogie francophone d'Amérique // Marie[10]
Lecture supplémentaire (plus détaillée): http://tessierlavigne.blogspot.ca/2011/09/urbain-tessier-1622-1689.html
Urbain Tessier
Recensement 1666 Census: MONTRÉAL
Recensement 1667 Census: ILE DE MONTRÉAL
Recensement 1681 Census: Ville de Montréal
Notaire Jean de Saint-Père[13]
Notaire Lambert Closse[13]
Notaire Bénigne Basset[13]
Notaire Claude Maugue[13]
Notaire Hilaire Bourgine
Notaire Antoine Adhémar[13]
Name Urbain Tessier Relationship to Head Chef de famille Baptism Date 1624 Baptism Place Château-des-aniou Children Anonyme Tessier Burial Date 21 Mars 1689 Burial Place Montréal
Household Members
Urbain Tessier Marie Archambault Anonyme Tessier Charles Tessier Paul Tessier Madeleine Tessier Laurent Tessier Louise Tessier Agnès Tessier Urbain Tessier Jean Tessier Jean Tessier Claude Tessier Jacques Tessier Pètronille Tessier Jean-Baptiste Tessier Pierre Tessier Jacques Tessier Ignace Tessier Nicolas Tessier Madeleine Cloutier Anne-Geneviève Lemire Pierre Peyet Guillaume Richard Jeanne Leber Louise Carony Marie-Catherine de Poitiers Pierre Janot Elizabeth Regnault Marie Adhémar
Quebec, Genealogical Dictionary of Canadian Families (Tanguay Collection), 1608-1890. Volume: Vol. 1 Sect. 2 : Hem-Zap; Page: 561. USA: Ancestry.com Operations Inc, 2011.
Name Urbain Tessier
Death 24 Mar 1684
Burial 21 Mars 1689 • Montréal
Urbain Tessier. [14][15][16][17][18][19][20][21][22][23]
Born BET 1619 AND 1627. Château-la-Vallière, Indre-et-Loire, France. [24][25][26] Imported only 1619 from Birth Date and marked as uncertain.
Died 21 MAR 1689. Quebec, Canada. Map: Latitude: N47.4278. Longitude: W71.8805. [27][28][29]
Baptism: 1624[30]
Buried 21 Mars 1689. Montréal, Montréal (Urban Agglomeration), Quebec, Canada. Map: Latitude: N45.5083. Longitude: W73.5651. [31][32]
Event: Arrival 1648 Montreal[33][34][35][36]
Residence France[37]
Marriage Husband Urbain Tessier. Wife Marie Archambault. Child: Jean Baptiste Tessier dit Lavigne. Marriage 28 SEP 1648. Quebec, Canada. Map: Latitude: N47.4278. Longitude: W71.8805. [38][39][40][41]
Husband Urbain Tessier. Marriage BET 1621 AND 1671. Quebec, Québec. [42]
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Featured National Park champion connections: Urbain is 14 degrees from Theodore Roosevelt, 20 degrees from Stephanus Johannes Paulus Kruger, 14 degrees from George Catlin, 16 degrees from Marjory Douglas, 22 degrees from Sueko Embrey, 16 degrees from George Grinnell, 25 degrees from Anton Kröller, 16 degrees from Stephen Mather, 20 degrees from Kara McKean, 15 degrees from John Muir, 13 degrees from Victoria Hanover and 25 degrees from Charles Young on our single family tree. Login to find your connection.
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