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Guillaume (Guillemot) Guillemot de Kerbodot (1608 - 1652)

Guillaume Guillemot de Kerbodot formerly Guillemot aka Kerbodot, du Plessis
Born in Paris, Île-de-France, Francemap
[sibling(s) unknown]
Husband of — married Jan 1639 in Paris, Île-de-France, Francemap
Died at age 44 in Trois-Rivières, Canada, Nouvelle-Francemap
Problems/Questions Profile manager: Greg Lavoie private message [send private message]
Profile last modified | Created 8 Jul 2014
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Contents

Biography

Drapeau identifiant les profils du Canada, Nouvelle-France
Guillaume (Guillemot) Guillemot de Kerbodot lived
in Canada, Nouvelle-France.
Flag of France
Guillaume (Guillemot) Guillemot de Kerbodot migrated from France to New France.
Flag of New France

Guillaume was baptized on March 6th, 1608 in Paris. [1] He was the a son of Henri Guillemot and Michelle Fouquet. The family stems from Kerbodot near Saint-Brieuc in the Côtes-d'Armor. His baptismal act comes from French nobility letters in Nouvelle-France. He married Etiennette Després in 1639 in Paris. Étiennette and their two children Anne and François arrived with Guillaume in Nouvelle-France when he was named governor of Trois-Rivières from 1651 to 1652.[2] The list of immigrants found in Marcel Trudel’s book Catalogue des Immigrants, 1632-1662 mentions a daughter named Dominique. According to Trudel, she was perhaps Guillaume’s daughter, sister or a close relative. She is mentioned in a baptism record in Trois-Rivières in May 1652, and there was a Dominique Guillemot at François Guillemot’s wedding in 1669 in France who signed as a witness.[2]

After his arrival in Trois-Rivières, he was godfather to 38 year old Guillaume NADOUEOUICH, listed as being of ONTCHATARONON origin (missionary baptism).

He was killed by the Iroquois on August 19th, 1652, being unfamiliar with their tactics.[3]

Biographie

“GUILLEMOT, GUILLAUME (appelé aussi Du Plessis-Kerbodot), gouverneur de Trois-Rivières de 1651 à 1652, tué par les Iroquois le 19 août 1652.

Nous devons respecter le nom qu’il signait et sous lequel il est connu dans notre histoire : Guillaume Guillemot, seigneur du fief Kerbodot, en Bretagne. Si on l’a appelé Du Plessis, c’est que le mot plessis, en normand, signifie village, fief, etc., comme le mot breton ker. Dans l’index des Relations des Jésuites (éd. Thwaites), on a par erreur confondu ce personnage avec Du Plessis-Bochart. L’identité de chacun a par la suite été établie de façon certaine.

Guillaume Guillemot jouissait certainement d’un excellent prestige dans les milieux officiels, car le 2 janvier 1651 son nom est proposé au roi par la Compagnie des Cent-Associés, avec celui de Jean de Lauson (père) et de Pierre Robinau, pour remplacer Louis d’Ailleboust comme gouverneur de la Nouvelle-France. M. de Lauson est désigné, mais Du Plessis-Kerbodot est nommé gouverneur de Trois-Rivières. Arrivé à Québec le 13 octobre de la même année, sa présence est signalée à Trois-Rivières le 1er décembre. Ce dernier poste n’est pas une sinécure et le nouveau gouverneur veut avant tout y protéger les intérêts de la Compagnie des Cent-Associés. Il se rend vite compte qu’il doit imposer la paix aux Indiens, car Trois-Rivières est à l’époque l’avant poste des attaques iroquoises. Une équipe d’urgence, le camp volant, est formée. De par sa fonction, le gouverneur en prend lui-même la direction. Première erreur de sa part, car il n’est pas un militaire et ne connaît rien des tactiques indiennes.

Malgré l’avertissement d’un homme d’expérience, Pierre Boucher*, et de quelques autres colons, Kerbodot ordonne à son camp volant d’aller au-devant de l’ennemi, à l’aveuglette, dans les bois de la banlieue. Les soldats improvisés obéissent. Ils sont une soixantaine, y compris 12 Indiens alliés. Le matin du 19 août, la troupe s’embarque dans deux chaloupes et longe les rives du Saint-Laurent. Aussitôt débarquée, elle tombe dans l’embuscade des Iroquois qui, selon leur tactique habituelle, avaient épié sa venue. Vingt-deux Français, dont le gouverneur lui-même, sont tués sur place ou faits prisonniers.

Du Plessis-Kerbodot avait épousé à Paris en 1647 (cette date est peu probable, voir notes de recherche ci-haut) Étiennette Després, qui le suivit en Nouvelle-France avec leurs deux enfants, Anne et François.” [3]

Notes

Fichier origine

GUILLEMOT / KERBODOT / DU PLESSIS, Guillaume 241962
Date de baptême: 06-03-1608
Lieu d'origine: Paris (St-Honoré) (Seine) 75108
Parents: Henri et Michelle Fouquet
Première mention au pays: 1651
Occupation à l'arrivée: Gouverneur des Trois-Rivières
Date de mariage: 01-01-1639
Lieu du mariage: Paris (Ct Me Jean Desnost et Vautier)
Conjointe: Étiennette Després
Décès ou inhumation: Canada, 19-08-1652
Remarques: Son acte de baptême est tiré des lettres de noblesse en Nouvelle-France. Guillaume Guillemot, sieur Du Plessis, fut seigneur du fief de Kerbodot en Bretagne, près de St-Brieuc (Côtes-d'Armor, 22278). En 1639, il est capitaine au régiment des Galliots en garnison à Antibes (Alpes-Maritimes, 06004); résident à Paris (St-Médéric, rue St-Bon). Le couple Guillemot-Després débarque le 13-10-1651 à Québec, avec deux enfants nés à Paris: François, marié à Vannes (Morbihan, 56260), le 15-07-1669 avec Jeanne de LaCoudraye; et Anne, mariée à Québec, le 17-09-1668 avec Octave Zapaglia de Ressan.[4]

Actes notariaux de Paris notarial acts

DESPRÉS, Étiennette, née à Paris vers 1626, migrante arrivée au Canada avec son époux en 1651. Fille de Nicolas et de Madeleine Leblanc. (DGFQ, p. 541) (FO-380029)
Soeurs : Anne et Geneviève (Pionnières en Nouvelle-France).
GUILLEMOT DU PLESSIS DE KERBODOT, Guillaume, né à Paris (Saint-Honoré) le 06.03. 1608, arrivé au Canada comme gouverneur de Trois-Rivières avec son épouse. Fils d’Henri et Michelle Fouquet. (DGFQ, p. 543) (DBC, vol. 1, p. 359) (FO-241962)
Contrat de mariage des pionniers :
Le 01.01.1639 devant Jean Desnots et Renault Vautier, Étude CXII 310
Guillaume Guillemot, écuyer, sieur du Plessis, capitaine d’une compagnie entretenue pour le service de sa majesté dans le régiment des galliots, étant en garnison dans la ville d’Antibes en Provence, étant de présent à Paris, logé rue Saint-Bon, paroisse Saint-Méderic, pour lui et en son nom, et messire Nicolas Desprez, bourgeois de Paris, et dame Madeleine Leblanc sa femme, demeurant rue Saint-Bon, stipulant pour Étiennette Desprez leur fille. 5000 livres de dot en deniers comptants et avancement d’hoiries. Pendant 5 ans ils nourriront leur fille et chaque année est évaluée à 150 livres. 2000 livres iront dans la communauté. Le surplus est propre à la future épouse. 3000 livres en douaire préfix. À la dissolution le futur époux prendra habits, chevaux, armes et bagages. La future épouse habits, bagues et joyaux jusqu’à la somme de 500 livres. Les deux futurs époux ont signé comme Nicolas Desprez. Le mariage a probablement eu lieu à l’église Saint-Méderic.
La rue Saint-Bon qui existe toujours se trouve juste à côté de l’église Saint-Médéric [5]

Research Notes

There are discrepancies concerning the date of marriage. According to the Quebec Federation of Genealogical Societies, Guillaume and Etiennette married in 1639. According to Raymond Douville in his biography of Guillemot, they married in 1647. The most probable date is 1639 since their son François’ marriage record shows that he was about 26 years old when he married in 1669 (estimated date of birth is 1643). Could not find the marriage record of Guillaume and Etiennette in Family Search, Ancestry or France archives online. Cormier-1939 19:21, 11 August 2019 (UTC)

Note: the marriage date is from their marriage contract above. Which is from more recent research than Douville's article in Biographi.ca.

Sources

  1. "Quebec, Quebec Federation of Genealogical Societies, Family Origins, 1621-1865," database, FamilySearch (https://familysearch.org/ark:/61903/1:1:QKDB-H9JW : 10 February 2018), Guillaume Guillemot, x; citing Paris St-Honoré, Seine, France, Birth, La Fédération québécoise des sociétés de généalogie (The Quebec Federation of Genealogical Societies), Canada.
  2. 2.0 2.1 TRUDEL, MARCEL. Catalogue des Immigrants, 1632-1662. Cahiers du Quebec Collection Histoire. Montreal: Editions Hurtubise HMH, 1983. p.235-236
    Guillemot Duplessis, Guillaume, Wife Etiennette Despres 24; Daughter Dominique; Daughter Anne 2; Son Francois
  3. 3.0 3.1 Raymond Douville, « GUILLEMOT, GUILLAUME », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 9 déc. 2015, http://www.biographi.ca/fr/bio/guillemot_guillaume_1F.html (English)
  4. Fichier Guillaume Guillemot 2018 Fédération québécoise des sociétés de généalogie//Québec Federation of Genealogical Societies
  5. Les familles pionnières de la Nouvelle-France dans les archives du Minutier central des notaires de Paris, Présentées et annotées par Marcel Fournier, Auteur Jean-Paul Macouin, Société de recherche historique Archiv-Histo, 2016. pg 68
  • Quebec, Vital and Church Records (Drouin Collection), 1621-1997

Acknowledgements





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