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Louise Guyon (1668 - aft. 1722)

Louise Guyon aka Thibault, D'Amours
Born in Château-Richer, Canada, Nouvelle-Francemap
Ancestors ancestors
Daughter of and
Wife of — married 10 Apr 1684 in Château-Richer, Canada, Nouvelle-Francemap
Wife of — married 1 Oct 1686 in Québec, Canada, Nouvelle-Francemap
Descendants descendants
Died after after age 53 in La Rochelle, Aunis, Francemap
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Louise Guyon lived in Canada, New France, now Québec, Canada.
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Contents

Biographie

(English version below)

Louise Guyon[1][2][3] (1668 - ) était aussi connue sous le nom de Louise Dion[4] Elle est né le 30 avril 1668 à Château-Richer (Capitale-Nationale, Québec, Canada),la fille de Simon Guyon et Louise Racine.[1][5][6][7] Elle est baptisée le premier mai 1668 à La-Visitation-de-Notre-Dame, Château-Richer.[2]

Quand elle avait sept ans, sa mère est morte.[7] En 1681, Louise a vécu avec sa famille à la seigneurie de Beaupré: sa pere Simon, et ses soeurs (Barbe, Marie-Angélique, Marguerite, Marie-Charlotte, Marie) et Joseph un domestique.[1][7]

Louise a été orphelin à 'age de 14.[7] Deux ans plus tard, elle épousa Charles Thibault, fils de Guillaume Thibault et de Marie-Madeleine LeFrançois, le 10 avril 1684 à Château-Richer.[2][6][7] A l'age de 17, elle était veuve quand Charles est décédé le 12 Septembre 1685.

L'année suivante,Louise épousa Mathieu d' Amours, fils de Mathieu D' Amours, seigneur des Chaufours De la Morandière et Dame Marie Marsollet le premier octobre 1686 à Québec (Capitale-Nationale).[2][3][6] Son beau-père a eu une carrière distinguée en tant que major de Québec, armateur, membre du Conseil souverain, et seigneur de Matane. Ses ancêtres appartenaient à la noblesse française.>[8].

Ce fut une cérémonie de mariage double. Son frère Louis et sa sœur Marguerite ont également été marié. Les frères D'Amours avaient été accordées seigneuries en Acadie (Nouveau-Brunswick). Ces couples aventureux s'y sont installés après leurs noces.[2] Matthieu a reçut de vastes concessions seigneuriales situés entre Jemseg et Naxouat (Nashwaak), sur la rivière Saint-Jean:

"Il y établit la seigneurie la mieux cultivée de la vallée et, aidé de son frère Louis, y construisit une scierie. Il fit venir des colons, bâtit une résidence et des granges, se constitua un troupeau et ne tarda pas à récolter. En outre, il semble s’être livré à la traite avec les Indiens. En 1689, il était nommé au Conseil souverain, mais seulement pour remplacer son père en cas d’absence ou de décès. Il se rendit au conseil pour y prêter le serment d’office en 1690. Le gouverneur Joseph Robinau de Villebon, qui le détestait, lui et ses frères, se plaignit aux autorités de la métropole qu’ils étaient libertins et insubordonnés, et ne se préoccupaient guère de mettre leurs biens en valeur, accusations sans fondement dans le cas de Mathieu."[9]

Entre 1687 et 1696, Mathiee et Louise a eu cinq enfants: 1. Sieur Joseph Damours de Fréneuse (1687 - 1737); 2. Louis Damours (1689 - ); 3. Mathieu-François Damours (1692 - 1740); 4. Nicolas Damours (1695 - ); et 5. Jean Damours (1696 - ).[6]

Malheuresement, Mathieu est décédé quand Louise a donné naissance à Jean:

"En 1696, une expédition venue de la Nouvelle-Angleterre... attaqua le fort Saint-Joseph (Naxouat). Mathieu Damours contribua brillamment à la défense, qui réussit à repousser l’ennemi. En se retirant, Hathorne et ses hommes brûlèrent la maison et les granges de Damours, dont ils tuèrent le bétail. Damours lui-même, malade par suite des souffrances endurées au cours de l’attaque, mourut peu de temps après."[9]

En 1700, Louise, connue sous le nom de Mme. Freneuse, avait déménagé à Port-Royal avec les autres habitants de Naxouat, qui avaient été laissés sans protection du Fort-Saint-Joseph démoli. Elle vivait avec sa soeur et beau-frère:

"Le nouveau gouverneur, Jacques-François de Monbeton de Brouillan, et les officiers accueillirent avec sympathie cette jeune veuve de 34 ans, mère de cinq enfants, et reçurent dans la garnison ses trois fils aînés, dont l’âge variait entre 10 et 15 ans. Simon-Pierre Denys de Bonaventure, lieutenant de roi, poussa la courtoisie jusqu’à l’héberger chez lui, en attendant qu’elle acquît une maison non loin du fort. M. de Bonaventure dépassa sans doute un peu trop les bornes de la galanterie puisque, l’année suivante, naissait un enfant prénommé Antoine, dont le baptême figure [aux registres de Port-Royal. Dès lors, cette liaison ... prend, dans la correspondance officielle, les dimensions d’une affaire d’État. Le lieutenant général civil et criminel en Acadie, Mathieu de Goutin, ainsi que les missionnaires Félix Pain et Patrice René dénoncent le scandale. L’évêque de Québec, Mgr de Saint-Vallier [La Croix], demande d’éloigner cette femme et Pontchartrain, ministre de la Marine, donne ordre de l’envoyer au Canada ou à la rivière Saint-Jean. Mais Bonaventure se défend comme un diable; il proteste que la charité seule a dicté sa conduite, réclame une enquête et, dans un mouvement chevaleresque, offre de partir lui-même plutôt que d’exiler cette malheureuse femme qui, en plus de ses enfants, vient de recueillir deux nièces orphelines. Brouillan, le gouverneur, prend aussi la défense de Mme de Freneuse et se contente de l’éloigner temporairement de Port-Royal."[10]

Lorsque le gouverneur Brouilland est mort en 1705, Bonaventure lui remplaça temporairement. Louise est allé à La Rochelle France. Le Roi a nommé Subercase plutôt que Bonaventure en tant que gouverneur. Louise est retourné à Port-Royal:

..."une nouvelle tempête se déchaîne, mais cette fois-ci ce sont des victimes des violences de Bonaventure qui se plaignent de lui. Malgré les ordres du ministre, Subercase temporise et se contente d’éloigner la belle vers le haut de la rivière Dauphin (Annapolis). L’épouse légitime de Bonaventure, Jeanne Jannière... finit par venir s’installer en Acadie en 1707. Il s’ensuit une accalmie temporaire mais les amoureux continuent de se voir. De Goutin continue d’envoyer ses dépêches à la cour, l’évêque de Québec revient à la charge et le père René passe en France pour se plaindre au ministre. Celui-ci, apprenant qu’on ne lui a pas encore obéi, se fâche: il blâme Subercase, lui adressant un ordre formel du roi d’éloigner Mme de Freneuse, et déclare à Bonaventure que si, au retour des vaisseaux, elle n’est pas partie, il sera cassé et déchu de son emploi. Subercase obtempère et Mme de Freneuse part pour Québec à l’été de 1708..."[10]

En 1710, Port-Royal a été capturé par les Britanniques et devient Annapolis Royal.[11] Bonaventure est retourné à Rochefort France où il mourut en 1711. Louise revint à Annapolis:

"Mme de Freneuse traversa la baie Française (baie de Fundy) en canot, au cœur de l’hiver, seule avec son plus jeune fils et un Indien. Le gouverneur anglais ... lui permit d’y demeurer, mais Paul Mascarene prétendit qu’elle servait d’espion au gouvernement français. En fait, Mme de Freneuse aurait eu plusieurs raisons valables de revenir en Acadie, ne fût-ce qu’à cause des nombreux parents qu’elle y avait et pour voir aux biens qu’elle avait dû abandonner hâtivement à la rivière Saint-Jean et à Annapolis Royal. Par ailleurs, on sait que la cour de France songeait sérieusement à reprendre Annapolis Royal. Déjà à Rochefort, Denys de Bonaventure avait dressé un plan précis dans ce but, et il se peut que Mme de Freneuse ait collaboré à ce projet en fournissant à Vaudreuil des renseignements sur les forces anglaises à Annapolis Royal. D’après Mascarene, deux de ses fils auraient participé en juin 1711 à l’attaque de Bloody Creek (près de Bridgetown, N.-É.), où périrent 30 soldats anglais. Après quoi ils seraient revenus à Annapolis Royal pour conduire leur mère en sûreté. Par la suite, on perd la trace de Mme de Freneuse. Elle dut vivre quelque temps à Québec, puis repasser en France [Elle a voyagé du 25 octobre 1720 au 8 décembre 1720 de Québec à Rochefort, France sur "Le Chameau".[4].] ...on trouve quelques-uns de ses enfants établis à La Rochelle en 1727; deux de ses fils firent carrière dans la marine."[10]

L'archiviste et historien Père René Baudry a décrit Louise: "ardente et courageuse de cette femme, héroïne d’un roman vécu, rempli d’aventures et de passions."[10] En 1940, sa vie a inspiré l'écriture d'un roman d'amour historique.[12]

Biography

(version française ci-dessus)

Louise Guyon was born on April 30 1668 and baptised the next day at Château Richer (Quebec).[6][7] She was the daughter of Simon Guyon and Louise Racine. By the time she was seven, she would endure a tragic series of losses in her youth and early adulthood.[7] Her mother died hat year, and she was orphaned by the time she was 14. At the age of 16, she married Charles Thibault, son of Guillaume Thibault and Marie-Madeleine LeFranc on April 10, 1684 at Chateau Richer, and was widowed at 17.[7]

Louise started a new life when she was 18, marrying Mathieu D'Amours, Sieur de Freneuse and Sieur de Jemseg, son of Mathieu D'Amours de Chauffours and Marie Marsolet.[7] Her father-in-law was had a distinguised position as Town Major of Quebec and Member of the Conseil Souverain. His ancestors were from the French Nobility.[8]

Louise had a double wedding ceremony with her sister Marguerite and Mathieu's brother, Louis[13] on October 1, 1686. The D'Amours brothers held seigneury lands on the Saint John River in Acadia, and these adventurous couples settled there. Mathieu had land between Jemseg and Naxouat (Nashwaak, NB):

"He developed the best cultivated seigneury on the river and with the help of his brother Louis built a lumber mill. He brought in settlers, erected a residence and barns, built up a herd of livestock and was soon raising crops. In addition, he appears to have engaged in trade with the Indians.[9]

In 1686, at Riviere St John, Louise GUION (sic) was living with her husband, Le Sr. Mathieu DAMOURS de Frencuse (sic), aged 28. No land or livestock was listed.[14]

When she was 19, Louise lost her brother in France but she was also blessed with a son Joseph (baptised in Acadia). By the time she was 28, Louise had given birth to four more sons: Mathieu François (baptised in Quebec), François-Mathieu (baptised in Quebec), Nicolas, and Jean.[6]

In 1696, around the birth of her fifth child, Louise's world as she knew it was shattered. Her husband returned to Quebec to replace his late father on the Conseil Souverain. Then he travelled to Acadia to move his family to Quebec. Tragically, his plans were thwarted when a New England expedition attacked Fort Saint-Joseph (Nashwaak):

"Mathieu Damours figured prominently in its successful defence. When Hathorne and his men withdrew, they burned Damours’s home and killed his cattle. Damours himself fell ill from exposure suffered during the attack and died soon afterwards."[9]

Widowed a second time at the age of 28, Louise remained on the St John River. Fortunately, a King's order granted her husband's vacated office to another on the condition that her family be paid 1,000 livres.[10]

By 1700, Louise, known as Mme. Freneuse, had moved to Port-Royal (Annapolis Royal, Nova Scotia) with the other inhabitants of Naxouat,who had been left without protection from the demolished Fort-Saint-Joseph. She lived with her sister and brother-in-law.

Archivist and historian Baudry describes the next chapter of her life:

"The new governor, Jacques-François de Monbeton de Brouillan, and the officers welcomed warmly this young widow of 34 years of age, mother of five children, and took into the garrison her three oldest sons, whose ages varied from 10 to 15 years. Simon-Pierre Denys de Bonaventure, the king’s lieutenant, extended the courtesy to the point of sheltering her in his home until she acquired a house not far from the fort. M. de Bonaventure probably went a little beyond the bounds of gallantry, for a child was born the following year who was named Antoine ... whose baptism, appears in the parish records of Port-Royal. From then on this liaison ... took on the dimensions of an affair of state in official correspondence. The lieutenant general for justice in Acadia, Mathieu de Goutin, along with the missionaries Félix Pain and Patrice René, denounced the scandal. Bishop Saint-Vallier [La Croix] of Quebec asked that the woman be sent away, and Pontchartrain, the minister of Marine, ordered her to be sent to Canada or to the Saint John River. But Bonaventure put up a vigorous defence, affirming that simple charity had guided his conduct. He demanded an inquiry and, in a chivalrous gesture, offered to leave himself rather than see exiled this unfortunate woman, who, in addition to keeping her five children, had just taken in two orphaned nieces. Brouillan, the governor, also took up Mme de Freneuse’s defence and was satisfied with removing her temporarily from Port-Royal.[10]

When Governor Brouilland died in 1705, Bonaventure replaced him temporarily. Louise went to La Rochelle France and returned to Port-Royal when the King appointed Subercase as Governor:

A new storm now broke; this time it was victims of Bonaventure’s authority who complained of him. Despite the minister’s orders Subercase temporized and contented himself with sending the lady off to the upper part of the Rivière Dauphin (Annapolis River). In 1707, Bonaventure’s legal wife, Jeanne Jannière, finally came to live in Acadia. There ensued temporarily a period of calm, but the lovers still saw each other. Goutin continued sending his dispatches to the court, the bishop of Quebec returned to the charge, and Father Patrice René went to France to complain to the minister. Upon learning that he had not yet been obeyed, the minister became angry: he blamed Subercase, giving him a formal order from the king to send Mme de Freneuse away, and told Bonaventure that if by the time the ships departed she had not left, he would be cashiered and deprived of his post. Subercase complied with the order and Mme de Freneuse left for Quebec in ... 1708.[10]

In 1710, Port-Royal was captured by the British and became Annapolis Royal. [11] Bonaventure returned to Rochefort France where he died in 1711. Louise returned to Annapolis Royal that same year:

Mme de Freneuse crossed the Baie Française (Bay of Fundy) in a canoe in the heart of winter, alone with her youngest son and an Indian. The acting English governor of Annapolis Royal, Sir Charles Hobby, allowed her to stay there, but Paul Mascarene claimed that she was acting as a spy for the French government. Certainly Mme de Freneuse would have had several valid reasons for returning to Acadia, if only because of the many relatives she had there and to see to the possessions she had had to leave in haste behind her at the Saint John River and at Annapolis Royal. On the other hand, we know that the court of France was seriously thinking of retaking Annapolis Royal. Already Denys de Bonaventure had drawn up at Rochefort a detailed plan to this end, and it is possible that Mme de Freneuse collaborated in this plan by supplying Vaudreuil with information on the English forces at Annapolis Royal. According to Mascarene, two of her sons may have taken part in June 1711 in the attack at Bloody Creek (near Bridgetown, N.S.), where 30 English soldiers perished. They are then supposed to have returned to Annapolis Royal to conduct their mother to a safe place. After that Mme de Freneuse drops from sight. She must have lived some time at Quebec, then have gone back to France, for we find some of her children living at La Rochelle in 1727; two of her sons had naval careers."[10]

Rev. René Baudry [10] describes Louise as "ardent and courageous, the heroine of a true romance filled with adventure and passion." In 1940, her life inspired the writing of an historical romance novel.[12]

Timeline

1668 birth, in Chateau Richer, Quebec
c1681 residence, Chateau Richer, Quebec
c1675 mother dies
c1675 father dies
1684 marriage to Charles Thibault, Quebec
c1685 widowed
1686 marriage to Mathieu D'Amours de Freneuse, Quebec
c1687 birth, son Joseph
1687 War of the League of Augsburg (King William’s War) starts between England and France[15]
c1689 birth, son Louis
1692 birth, son Francois-Mathieu
c1693 residence, Rivière St-Jean
c1694 birth, son Nicolas
c1695 residence, Rivière St-Jean
c1696 birth, son Jean

ADD ATTACK AT FORT JOSEPH

1696 widowed
1697 Treaty of Ryswick restores Acadia to France; Port-Royal is its capital[11]
c1698 residence, Rivière St-Jean
c1700 residence, Port-Royal
1702 War of the Spanish Succession (Queen Anne’s War) starts between England and France[11]
1704 Blockade of Port Royal; no destruction of houses but some inhabitants taken prisoner[11]
c1703 birth, son Antoine
c1707 residence, Port-Royal
1710 Siege of Port-Royal; French surrender the Fort. Port-Royal, Acadia becomes Annapolis Royal, Nova Scotia[11]

ADD ATTACK AT BLOODY CREEK

17?? death

Research Notes

In the original 1686 census at Riviere St John, Freneuse was spelled Frencuse. Guyon was spelled Guion.[16]

Sources

  1. 1.0 1.1 1.2 Internet- Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal le 17 mars 1998.Âgée de 14 ans.
  2. 2.0 2.1 2.2 2.3 2.4 Tanguay- Volume 1, p.154(1698 Rivière-Saint-Jean, Acadie); p294 (baptême 1 mai 1668); p 565 (mariage Charles Thibault)
  3. 3.0 3.1 Noblesse Québécoise - Table 54, 55
  4. 4.0 4.1 Courriel de William Hannon - 12 décembre 2011
  5. Courriel d'Yves Drolet - premier mars 2014, "Généalogie de la famille Denys"
  6. 6.0 6.1 6.2 6.3 6.4 6.5 White, Stephen A., Patrice Gallant, and Hector-J Hébert. Dictionnaire Généalogique Des Familles Acadiennes. Moncton, N.-B.: Centre D'études Acadiennes, Université De Moncton, 1999, Print, p786-789; 457-459.
  7. 7.0 7.1 7.2 7.3 7.4 7.5 7.6 7.7 7.8 PDRH Online (subscription), Univerisity of Montreal, Profile Number 20783
  8. 8.0 8.1 Drolet, Yves. Tables Généalogiqes de la Nobless Québécoise du XVIIe au XIXe siècle. Genealogical Tables of the Quebec Noblesse from the 17th to the 19th Century. p 47-51 (Famille D’Amours/D’Amours); p186 (Index des Noms de Famille/ Index of Surnames); p170 Bibliogrphie/Bibliography); D’Amours Table 54, Accessed December 2013
  9. 9.0 9.1 9.2 9.3 George MacBeath, “DAMOURS DE FRENEUSE, MATHIEU,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed December 22, 2013.FRANCAIS
  10. 10.0 10.1 10.2 10.3 10.4 10.5 10.6 10.7 10.8 René Baudry, “GUYON, LOUISE,” in public citation publication, vol.3, University of Toronto/Université Laval, 2003, accessed April 18, 2014.FRANCAIS
  11. 11.0 11.1 11.2 11.3 11.4 11.5 Dunn, Brenda. A History of Port Royal / Annapolis Royal 1605-1800. Nimbus Publishing, p 40,43 (1693 PR raid); p44-45 (1697 Treaty of Ryswick); p52-53(1702 Queen Anne’s War); p61-62 (Blockade of PR); p 71-73(1707 Attack on PR); p82-85(1710 Siege of PR).
  12. 12.0 12.1 Eaton, Evelyn, Quietly my captain waits, New York, Harper Brothers, 1940. Snippets
  13. Entered by Daniel Ryder.
  14. Tim Hebert; Transcription of the 1686 Acadian Census, at Port-Royal, Acadie 1686 Census Transcribed. The original census can be found at Acadian Census microfilm C-2572 of the Library and Archives Canada “Acadie Recensements 1671 – 1752”, Images 15-60.
    at Riviere St John: Le Sr. Mathieu DAMOURS de Frencuse 28, Louise GUION his wife.
  15. Griffiths, Naomi E.S., From migrant to Acadian : a North-American border people, 1604-1755, Montreal (Québec), McGill-Queen's University Press, 2005, p147-151 (King William’s War); p 267-268 (oaths of allegiance)
  16. https://heritage.canadiana.ca/view/oocihm.lac_reel_c2572/50
  • 1681 Census of Quebec at Montmorency County: Simon DION, Carpenter, Habitant, age 55, Children Marie 18, Marguerite 15, Louise 14, Charlotte 10, Angelique 8, Barbe 6, Joseph Domestic age 22.
  • 1693 Acadian Census at Rivière St-Jean: Le Sr. DE CHAUFFOURS [Sic] 38, Louise GUION his wife 29, Jean, servant, 22; 11 cattle, 8 arpents, 2 guns.
  • 1695 Acadian census at Rivière St-Jean: The land of Freneuse in which the Sr. Damours de Freneuse is seigneur: Le Sr. de Freneuse, his wife, 4 children less than 15 years old, 2 servants older than 15, one maid; one house and a barn, one animal shelter, 30 arpents of enclosed cultivated land, 40 arpents of prairie, 10 cows, 40 hogs, 86 chickens, 2 guns, two espees. 1694 harvest: 50 minots of wheat, 40 minots of peas. 120 minots of corn, 12 minots of oats.
  • 1698 Acadian census at Rivière St-Jean: Dlle, Louise GUYO, widow of D'AMOURS; Joseph 11; Louis 9; Francois-Mathieu 6; Nicolas 3; Jean 13; 5 cattle, 12 hogs, 40 arpents, 2 guns, 2 servants.
  • 1700 Acadian census at Port-Royal: Louise DION [Guyon], widow of Sr. Mathieu D'AMOURS [de Freneuse], 37; Joseph 14; Louis 12; Francois 10, Nicolas 6, Mathieu 4; 6 cattle, 5 sheep.
  • Généalogie Québec.
  • "'The Captors' Narrative: Catholic Women and Their Puritan Men on the Early American Frontier', by William Henry Foster; Cornell University Press; 2003 , p. 129." [1]

Acknowledgments

  • Thanks to Gaston Tardif and Daniel Ryder for starting this profile. Click the Changes tab for the details of contributions by Gaston, Daniel and others.




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