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Françoise Lemoine
Fille d’Anthoine et de Françoise de Longuemerlière de la paroisse St-Leu St-Gilles, ville et archevêché de Paris, en Île-de-France,[1] née vers 1645 (22 ans en 1666 et 1667, 36 en 1681).
Elle arrive à Québec le 2 octobre 1665 à bord du vaisseau Le St-Jean-Baptiste de Dieppe.[2]
Mariage Contrat de mariage entre Pierre Niquet, de Champlain, fils de Michel Niquet et de Catherine Monty, du Saintonge; et Françoise Lemoyne, fille de Anthoine Lemoyne et de Françoise de Longuevilliers, de Paris (15 juin 1666). Notaire Jacques de Latouche Vol XXVI pg 224 #173[3]
Le contrat de mariage est signé le 15 juin 1666 devant le notaire Jacques de Latouche au Cap-de-la-Madeleine. (images) Fransoise Lemoine signe, Pierre Nicquet ne peut signer. L'acte de mariage comme tel est perdu.
Enfants connus du couple: (ortographe original)
Certains de leurs descendants prendront le nom Monty comme nom dit, nom de la mère de Pierre.
Le recensement de 1666 les met à Trois-Rivières et environs, ce qui incluait le Cap-de-la-Madeleine et le Petit Cap, où on les trouve en 1667. Pierre Niquet avait reçu une concession du sieur Étienne Pézard de La Tousche le 17 mars 1665. Étienne Pézard de La Tousche était seigneur de Champlain depuis août 1664. C'est à ce lieu qu'ils demeurent jusqu'à la fin de 1681, date à laquelle ils vendront leur propriété à François Lucas. Ils obtiennent une concession du seigneur de St-François (du-Lac) en mars 1682.[3] Leurs enfants sont sans doute nés à Champlain jusqu'en fin 1681, la famille y étant énumérée cette année là.
Vente de Pierre Niquet et sa femme au sieur Le Marchand, agissant pour François Lucas (18 décembre 1681). (Manque). Notaire Antoine Adhémar Vol V pg 51[3]
Concession par Jean Crevier, de St-François à Pierre Niquet, d’une concession en la seigneurie de St-François, de 7 arp. de front sur ce qui se trouvera de profondeur jusqu’à la ligne qui la sépare de celle du Sr de Luvandière (2 mars 1682). Collationné à l ’original, le 24 mars 1685, par le notaire Adhémar. (No 325.) Notaire Séverin Ameau Vol XI pg 116[3]
Quittance de Pierre Niquet et Françoise LeMoyne, sa femme, à François Lucas, pour 2,500 L., prix d’une habitation en la seigneurie de Champlain (9 octobre 1682). (No 338.) Notaire Séverin Ameau Vol XI pg 118[3]
Françoise fut marraine d'une fille prénommée Françoise, Loup de nation, le 19 octobre 1688 à St-François-du-Lac; elle fut marraine de son petit-fils Antoine Niquet, fils de François et de Marie Miville, le 11 juillet 1700 à St-François-du-Lac; elle fut marraine de François Michel Renou, fils de Michel François Renou et de Catherine Marin, le 10 mai 1714 à St-François-du-Lac.[5]
Donation d’une terre et habitation sises dans la seigneurie de St-François par Pierre Niquet et Françoise Lemoyne, sa femme, de St- François, à François Niquet, leur fils (23 août 1694). Notaire Séverin Ameau Vol XXVI pg 20 #47a [3]
Renonciation de douaire par Pierre Niquet, habitant de Saint-François, et Françoise Lemoyne (LeMoine), sa femme, en faveur de Pierre Dizy Montplaisir, habitant de Champlain . - 14 juillet 1704[10]
Vente d'une terre par Pierre Niquet, habitant demeurant en la seigneurie de Saint-François, et Françoise Lemoyne (Lemoine), sa femme, à François Niquet, leur fils, demeurant en la seigneurie de Saint-François . - 14 juillet 1704[11]
Acceptation par François Niquet, habitant demeurant à Saint-François, d'une donation de terre faite en sa faveur par Pierre Niquet et Françoise Lemoyne (Lemoine), sa femme . - 3 mai 1705[12]
Ratification d'une vente par Pierre Niquet, demeurant en la seigneurie de Saint-François, et Françoise Lemoyne (Lemoine), sa femme, à Marie-Claude Minville, veuve de François Niquet, leur fils . - 15 mars 1710[13]
Vente d'une terre au chenail Tardy par Pierre Niquet, demeurant en la seigneurie de Saint-François, et Françoise Lemoyne (Lemoine), sa femme, à Nicolas Cartier, leur gendre . - 15 mars 1710[14]
Donation par Pierre Niquet et Françoise Lemoine, sa femme du chenal Tardif, seigneurie Saint-François, aux dames Ursulines des Trois-Rivières, de leurs propriétés audit lieu (Donation annulée le 12 juin suivant) (24 avril 1715). Notaire Étienne Véron de Grandmesnil Vol XXVII pg 249 #138[3]
Hypothèque accordée par Pierre Niquet et Françoise Lemoine, sa femme, de la seigneurie de Saint-François, aux dames Ursulines des Trois-Rivières, sur sa terre, à charge de les nourrir et entretenir le reste de leurs jours, avec leur fille Marie-Joseph (12 juin 1715). Notaire Étienne Véron de Grandmesnil Vol XXVII pg 249 #139[3]
Accord entre les dames Ursulines des Trois-Rivières et Pierre Niquet, sa femme et sa fille, au sujet de leurs pensions respectives (12 avril 1717). Notaire Étienne Véron de Grandmesnil Vol XXVII pg 253 #174[3]
Vente par Pierre Niquet, de St-François et Françoise Lemoine, sa femme, à Joseph Hertel, de St-François, de toutes leurs terres et immeubles au chenal Tardif, seigneurie St-François (7 septembre 1719). Notaire Pierre Poulin Vol XXVI pg 184 #157[3]
Protestation de Pierre Niquet et Françoise Lemoine, sa femme, du chenal Tardif, contre le sieur curé Dugas qui a refusé de les recevoir aux sacrements parce qu’ayant vendu leurs propriétés au sieur Hertel, et ayant été payés, ont juré qu’ils n’avaient rien reçu (5 octobre 1719). Notaire Pierre Poulin Vol XXVI pg 184 #158[3]
Requête de François Babie (Baby) dit Chenneville (Cheneville), coseigneur du fief de Saint-François-du-Lac, comparant tant pour lui que pour ses cohéritiers, assisté de maitre Daniel Normandin, demandeur, d’une part, contre Joseph Hertel, écuyer, officier d’un détachement de la Marine, demeurant audit Saint-François-du-Lac, défendeur, d’autre part, pour que le défendeur soit condamné à lui payer les lots et ventes d’une concession du fief Saint-François qu’il a acquise de Pierre Niquet et de Françoise Lemoine, ledit défendeur répondant qu’il est vrai que le sieur Niquet et sa femme lui ont vendu confusément tous leurs biens meubles et immeubles moyennant la somme de 3000 livres mais qu'en vertu d'un accord fait avec ledit Niquet, le contrat serait déclaré nul et comme non fait, comme le confirme un écrit passé devant le sieur Dugast (Dugas), curé de Saint-François. Comparution à l'instant dudit Pierre Niquet qui déclare ne rien devoir audit seigneur de Saint-François étant donné que la vente fut simulée. La Cour déclare le contrat nul et comme non fait, sans préjudice à la transaction passée entre eux, le défendeur est donc renvoyé de la demande et il est seulement tenu aux frais de la transaction faite entre lui et ledit Niquet, dépens taxés et modérés à 18 livres et 15 sols, monnaie de France . - 18 mars 1720[15]
Vente d’une terre le long du chenal Tardif, pour 50 cordes de bois, par Pierre Niquette et Françoise Lemoine, sa femme, à Nicolas Cartier et François Niquette. Billet de Pauperet (16 décembre 1721). Notaire Pierre Petit Vol XXVII pg 1 #6[3]
Vente d ’une terre de 4 arpents de front dans le chenal Tardif, par Pierre Niquet et Françoise Lemoine, sa femme, de St-François, à Nicolas Cartier, leur gendre, et François Niquet, leur petit-fils, dudit lieu (25 février 1722). Notaire Pierre Petit Vol XXVII pg 2 #11[3]
Vente d'une terre de 3 arpents de front dans le chenal Tardif, par Pierre Niquet et Françoise Lemoine, sa femme, de St-François, à Noël Langlois-Traversy, dudit lieu (27 mai 1722). Notaire Pierre Petit Vol XXVII pg 2 #15[3]
Obligation de Pierre Niquet et Françoise Lemoine, sa femme, de St-François, à Joseph Gamelin, marchand à St-François, de la somme de 209 livres, 1 sol, pour marchandises (3 août 1722). Notaire Pierre Petit Vol XXVII pg 4 #30[3]
Pierre Niquet décède le 21 octobre 1722 et est inhumé le 22 à St-François-du-Lac, l'acte lui donnant 85 ans.[16]
Cession de chacun de leur part de la succession de Pierre Niquet, leur beau-père, et de Françoise Lemoine, leur belle-mère, par Louis Heu dit Paul et Angélique Niquet, sa femme; Jean Heu dit Latraverse et Thérèse Niquet, sa femme, du chenal du Moine, à Jean Baptiste Jutras-Desrosiers, leur neveu, de St-François (3 mars 1723). Notaire Pierre Petit Vol XXVII pg 7 #61[3]
Requête de Jacques Gamelin, marchand demeurant à Saint-François, comparant par Jacques Babie (Baby, Bouie), demandeur, d’une part, contre Françoise Lemoine, veuve de feu Pierre Niquet, demeurant à Saint-François, comparant par François Sauvage, défenderesse, d’autre part, pour que ladite défenderesse soit condamnée à lui payer la somme de 209 livres contenue dans une obligation, avec les intérêts, ladite Lemoine convenant devoir la somme en question mais qu'elle doit être payée par Jean-Baptiste Jutras, sieur Derosiers (Desrosiers), son petit-fils, étant donné qu’elle et son feu mari lui ont fait donation de tous leurs biens, avec la charge de s’acquitter de leurs dettes, ayant fait assigner ledit Derosiers, qui a convenu de payer ladite somme pourvu qu’il en soit valablement déchargé et qu’il puisse répéter un jour sur les héritiers desdits Niquet et Lemoine les sommes qu’il aura payées en leur acquis. La Cour condamne ledit Derosiers à payer la somme de 209 livres portée par ladite obligation, avec les intérêts, en qualité de donataire dudit feu Niquet et de sa veuve, étant aussi condamné aux dépens taxés à 45 sols . - 22 mars 1723[17]
Requête de Maurice Cardin, marchand demeurant aux Trois-Rivières, demandeur, d’une part, à l’encontre de Françoise Lemoine, veuve de feu Pierre Niquet, son mari, comparant par maître François Sauvage, défenderesse, d’autre part, pour que ladite défenderesse soit condamnée à payer la somme de 159 livres, restante de celle de 300 livres portée dans une obligation, ladite Lemoine convenant de ladite somme mais qu'elle doit être payée par Jean-Baptiste Jutras, sieur Derosiers (Desrosiers), son petit-fils, étant donné qu’elle et son feu mari lui ont fait donation de tous leurs biens avec la charge de s’acquitter de leurs dettes, ledit Derosiers, aussi assigné, accepte de payer ladite somme, comme aussi celle de 248 livres et 3 sols, pourvu qu’il en soit valablement déchargé et qu’il puisse répétér un jour sur les héritiers desdits Niquet et Lemoine les sommes qu’il aura payées en leur acquis. Avec le consentement des parties, la Cour condamne ledit Desrosiers à payer les 159 livres restantes portées par ladite obligation, ainsi que 248 livres et 3 sols en vertu d'un mémoire, avec les intérêts, alors que ladite défenderesse est condamnée aux dépens taxés à 45 sols . - 22 mars 1723[18]
Décès
Françoise est inhumée le 10 novembre 1728 à St-François-du-Lac sous le nom Françoise Niquette, l'acte lui donnant environ 92 ans. Cités présents aux funéraille furent le sieur Joseph Crevier, seigneur du lieu, et Pierre Babie.[19]
Vente de tous leurs droits successifs par Jean-François Lemire et Françoise Niquet, sa femme, de Baie du Febvre, héritiers pour undixième de feu Pierre Niquet et Françoise Lemoine, leurs ayeuls, à Jean-Baptiste Jutras-Derosiers, seigneur de Lusaudière, leur cousin germain, de St-François (15 septembre 1730). Notaire Pierre Petit Vol XXVII pg 64 #579[3]
Françoise Lemoine
Daughter of Anthoine Lemoine and of Françoise de Longuemerlière of the parish of St-Leu & St-Gilles, city and archdiocese of Paris, in Île-de-France,[1] born around 1645 (22 in 1666 and 1667, 36 in 1681 per censuses).
She arrived in Québec city on 2 October 1665 aboard the ship Le St-Jean-Baptiste from Dieppe.[2]
Pierre Niquet, son of Michel Niquet and of Catherine Monty, from Saintonge, entered into a marriage contract with Françoise Lemoyne, daughter of Anthoine Lemoyne and of Françoise de Longuevilliers, from Paris, on 15 June 1666 before notary Jacques de Latouche[3][20]
The marriage contract was signed of 15 June 1666 before notary Jacques de Latouche in Cap-de-la-Madeleine. (images) Fransoise Lemoine signs, Pierre Nicquet could not. The marriage record as such is lost.
Some of their descendants will take the name Monty as dit name, name of Pierre's mother.
They will have 11 known children together, only the first one dying young, the other 10 all marrying. (listed above)
1666 Census: LES TROIS-RIVIÈRES (including le Cap and others)
1667 Census: PETIT CAP DE LA MADELEINE
1681 Census: Champlain
At the end of 1681, Pierre Niquet and his wife Françoise Lemoine sold their habitation in Champlain to François Lucas, and received a concession from the sieur Jean Crevier in St-François-du-Lac the following spring. We find a quitclaim from Pierre and his wife to François Lucas for 2,500 livres in October 1682 for this sale.[3]
Over the years there are various suits that came before the sovereign council, disputes over rights of passage or debt claims mainly. Pierre also appears to acquire more land. In 1694 Pierre and his wife made a donation to their son François of some land, and sold him some more in 1704, all in the St-François seigneurie. In 1708 a piece of land on the chenal Tardif was adjudicated to him for 220 livres and to pay any dues for it. Pierre and his wife sold some of this land to their son-in-law Nicolas Cartier in 1710.[3]
In April 1715 Pierre and his wife Françoise Lemoine, residents of the chenal Tardif, seigneurie Saint-François, made a donation to the Ursulines of Trois-Rivières of their property in said place, which donation was cancelled on the 12th of June following. They then granted a mortgage to the Ursulines of Trois-Rivières, on his land, with charge to feed them and maintain them the rest of their days, with their daughter Marie-Joseph, on 12 June 1715, all before notary Étienne Véron de Grandmesnil[3]
On 12 April 1717, again before notary Étienne Véron de Grandmesnil, an agreement was done between the Ursulines of Trois-Rivières and Pierre Niquet, his wife and daughter, in regards to their respective pensions.[3]
On 7 September 1719 before notary Pierre Poulin, Pierre Niquet, of St-François and Françoise Lemoine, his wife, sold to Joseph Hertel, of St-François, all their land and buildings at the chenal Tardif, seigneurie St-François.[3] This sale was in fact some sort of fiction, and when François Babie (Baby) dit Chenneville (Cheneville), coseigneur of the fief of Saint-François-du-Lac, sued Joseph Hertel for his share of the fees due for such, Joseph Hertel stated in his defense that it was true that Niquet and his wife had confusedly sold him all their goods and buildings for 3,000 livres, but per an agreement made with Niquet the contract was declared null and void, as confirmed by a document done before the sieur Dugast, curé of St-François. Pierre Niquet was called to testify in the matter and declared that the sale was a simulation. The court declared the sale null and void on 18 March 1720.[15]
In December 1721 Pierre Niquette and his wife Françoise Lemoine sold land along the chenal Tardif, for 50 cords of wood to Nicolas Cartier and François Niquette. Written by Pauperet, recorded by notary Pierre Petit. In February 1722, they sold 4 arpents of frontage in the chenal Tardif, to Nicolas Cartier, their son-in-law, and François Niquet, their grandson. In May 1722 they sold land of 3 arpents of frontage in the chenal Tardif to Noël Langlois dit Traversy, all before notary Pierre Petit.[3]
Pierre Niquet died on 21 October 1722 and was buried the 22nd in St-François-du-Lac, the record giving him 85 years of age.[16][22]
There were various transactions after his death for his succession, some of his heirs ceding their rights to other heirs.[3]
In 1723, there were 2 cases against Françoise brought before the Sovereign Council for debts. One was from Jacques Gamelin, the other from Maurice Cardin. Both cases were resolved by assigning the debts to Françoise and Pierre's grandson, Jean-Baptiste Jutras, sieur Derosiers, son of their eldest daughter Marie, to whom they had donated all their goods with the provision that he fulfill any outstanding obligations.[17][18]
Françoise was buried on 10 November 1728 in St-François-du-Lac under the name Françoise Niquette, the record giving her around 92 years. Cited present at the funeral were the sieur Joseph Crevier, seigneur of the place, and Pierre Babie.[19]
Jean-François Lemire and Françoise Niquet, his wife, of Baie du Febvre, heirs for one tenth of the late Pierre Niquet and Françoise Lemoine, their ancestors, sold their succession rights to Jean-Baptiste Jutras Derosiers, seigneur of Lusaudière, their first cousin, of St-François, on 15 September 1730 before notary Pierre Petit[3]
The following PDF (in French) gives an exhaustive biography, and includes the map of their property in the seigneurie of St-François (du-Lac), and explanations of some of the reasons behind various transactions during her husband's life. Pierre Niquet pdf, bio exhaustive FR
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Featured Foodie Connections: Françoise is 12 degrees from Emeril Lagasse, 18 degrees from Nigella Lawson, 22 degrees from Maggie Beer, 43 degrees from Mary Hunnings, 21 degrees from Joop Braakhekke, 23 degrees from Michael Chow, 22 degrees from Ree Drummond, 24 degrees from Paul Hollywood, 21 degrees from Matty Matheson, 22 degrees from Martha Stewart, 24 degrees from Danny Trejo and 26 degrees from Molly Yeh on our single family tree. Login to find your connection.
Roy, Antoine, 1905-1997, Archives nationales du Québec, Éditeur: Québec :R. Lefebvre, Éditeur, 28 vol. ; 25-27 cm, Notice détaillée : 0000187501 officiel du Québec,1942-1976, ARCHIVES NATIONALES, TROIS-RIVIÈRES Section- JACQUES DE LA TOUSCHE entry #224, http://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2431906 Contrat de mariage entre Pierre Niquet, de Champlain, fils de Michel Niquet et de Catherine Monty, du Saintonge; et Françoise Lemoyne, fille de Anthoine Lemoyne et de Françoise de Longuevilliers, de Paris (15 juin 1666)
Cheers, Susan