Jeanne Mance
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Jeanne Mance (1606 - 1673)

Jeanne Mance
Born in Langres, Champagne, Francemap
Ancestors ancestors
[sibling(s) unknown]
Died at age 66 in Montréal, Canada, Nouvelle-Francemap
Profile last modified | Created 17 Dec 2014
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Jeanne Mance lived in Canada, New France, now Québec, Canada.
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Biographie

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Jeanne Mance is Notable.

Jeanne Mance

Femme de coeur, dévouée à la cause, Jeanne Mance fonda l'hôpital Hôtel-Dieu de Montréal et, si Paul de Chomedey sieur de Maisonneuve est le père de la ville, Jeanne Mance en est la mère.

Jeanne Mance est baptisée le 12 novembre 1606 à Langres (St-Pierre-et-St-Paul), en Champagne (Haute-Marne), fille de Charles Mance, procureur au bailliage de Langres, et de Catherine Émonnot.[1][2]

Son père disparait en 1630, sa mère en 1632. Elle était la deuxième enfant de douze du mariage. Pendant ses années langroises, elle se dévoue à ses compatriotes pour faire face à la guerre (de Trente Ans), à la peste (5 500 victimes à Langres et aux alentours), à la misère. Au contact des Jésuites de la cité et des nouvelles des premiers missionnaires français en Amérique, elle part de sa ville natale en 1640, pour répondre à un appel à la mission. Après quelques mois à Paris, elle embarque à La Rochelle en mai 1641 avec une cinquantaine de compagnons.[3]

Infirmière laïque formée chez les Ursulines, Jeanne Mance est recrutée en France par la Société de Notre-Dame de Montréal pour établir une colonie sur l’île de Montréal. Une riche mécène, Angélique Faure de Bullion, souhaite qu’on y ouvre un hôpital semblable à l’Hôtel-Dieu des Augustines, situé à Québec. Dès l’arrivée des colons à Montréal en 1642, un petit dispensaire est aménagé. Puis, le 12 janvier 1644 à Paris, Mme de Bullion offre les fonds nécessaires à la construction d’un nouvel édifice à l’extérieur de l’enceinte fortifiée.[4]

Hôtel-Dieu de Montréal, ouverture
Celui-ci ouvre ses portes et accueille ses premiers malades dès l’année suivante (8 octobre 1645). Il sera dirigé par Jeanne Mance jusqu’à sa mort en 1673. Il ne bénéficie pas de la protection du fort, mais jouit d’un terrain plus étendu et plus élevé. D’autres habitants vont par la suite s’installer aux abords de l’Hôtel-Dieu, donnant naissance au bourg de Montréal. Détruit par le feu à quelques reprises, l’hôpital sera situé au même endroit (entre les rues Saint-Sulpice, Le Royer, Saint-Dizier et Saint-Paul) jusqu’au milieu du XIXe siècle, alors qu’on le déplace à la limite nord de la ville (sur l’actuelle avenue des Pins).[4]

Dès que les Iroquois se rendent compte que l'île est habitée par des blancs, ils ouvrent une guerre acharnée. Jeanne Mance a bientôt des blessés à panser et des malades à soigner. En toute hâte on construit l'Hôtel-Dieu, bâtiment en bois de soixante pieds de longueur sur vingt-quatre de largeur. Il n'est pas plus tôt achevé que chaque recoin en est occupé. Jour et nuit la charitable hospitalière est sur pied, se dépensant au chevet des malades. On la sent à l'affût non seulement de toutes les souffrances mais encore de toutes les nécessités de la Colonie.[5]

1653, la Grande Recrue
Apprend-elle par exemple, que la compagnie des Cent-Associés faiblit et menace même de s'éteindre? Elle n'hésite pas un instant, elle reprend la mer, se rend à Paris et ne se donne plus de repos qu'elle n'ait rencontré et éclairé chacun des intéressés sur le véritable état de la Colonie. À force de démarches, elle réussit à faire réorganiser la Compagnie de Montréal. De retour au Canada, elle constate les ravages que font les Iroquois et la faiblesse de la résistance qu'on peut leur opposer. Le gouverneur lui-même est sur le point de perdre courage. Elle le persuade alors de passer en France et d'y lever une recrue. Mais il est si peu sûr d'avoir les ressources nécessaires. Elle a alors un plan , qui lui coûtera plus tard des larmes de sang. L'Hôtel-Dieu possède 22,000 livres. Ce sont les deniers de la fondation. Jeanne Mance les cède. Par un ingénieux procédé, elle fait approuver ce geste par sa bienfaitrice qui, sans se trahir, y ajoute encore 20,000 livres. Avec ce secours Maisonneuve peut faire une levée de cent hommes pour la Colonie. [5] C'est la Grande Recrue de 1653.

Ce n'est pas assez encore pour son dévouement et son zèle éclairé. Mais l'hospitalière s'use, elle vieillit. Il faut d'autres mains pour continuer. Tous ses efforts tendent dès lors à obtenir pour la colonie naissante deux de ses plus fermes appuis: les prêtres de la Compagnie de Saint-Sulpice et les religieuses hospitalières de Saint-Joseph. Et la voilà de nouveau en France en 1659. Jeanne Mance revient à Montréal avec la Mère de Brésoles, les sœurs Macé et Maillet.[5]

En 1659, Jeanne Mance est en France recrutant pour Montréal. Plusieurs familles dûrent emprunter de l'argent à Mlle Mance pour pouvoir survivre et s'embarquer. Le navire est le Saint-André.

Olivier Charbonneau, son épouse et sa fille ___________ 175 Livres
Simon Cardinault, son épouse et 2 enfants ____________ 225 "
Pierre Goyer, son épouse et 1 fille __(Goguet)__________ 175 "
Jean Roy et son épouse ________________________________ 150 "
Mathurin Thibaudeau, son épouse et 4 enfants _______ 350 "
Jean Racaud, son épouse et 3 enfants__________________ 275 "
Pierre Guiberge, son épouse et 2 enfants______________ 225 "
Elie Beaujean, son épouse et 2 enfants________________ 225 "

Ce ne sera qu'en 1669 que plusieurs d'entre eux finiront de rembourser Jeanne Mance, ils recevront une quittance d'elle devant le notaire Bénigne Basset. La liste complète des recrues de 1659 se trouve en pages 7-11 de l'ouvrage d'Archange Godbout.[6]

Le Saint-André quitte La Rochelle en juillet 1659. Pendant 2 ans, il avait servi d'hôpital aux troupes de la marine, mais n'avait pas été désinfecté d'aucune façon. Il y aura environ 8 décès par maladie durant le voyage et 10 qui décèderont à Québec après leur arrivée à cause de ceci. Le voyage dura 2 mois, avec de multiples tempêtes pour ralentir le voyage. Il arrive finalement devant Québec le 9 septembre 1659, plusieurs passagers étant malades. C'est finalement le 29 septembre que Marguerite Bourgeoys, qui était aussi du voyage, arrivera à Montréal avec les recrues aptes à y arriver.[6]

Compagnie de Saint-Sulpice devient seigneur de l'île
À la suite de la mort de plusieurs bienfaiteurs, la Société Notre-Dame de Montréal connaît de sérieuses difficultés financières 20 ans après la fondation de Montréal, ayant contracté des dettes importantes. Pour assurer la survie de la colonie, la Société se dissout le 9 mars 1663 tout en cédant ses droits sur la seigneurie de Montréal à la Compagnie de Saint-Sulpice de Paris. L’acte de donation est officialisé à Paris le 9 mars 1663, en présence de Maisonneuve et de Jeanne Mance.[7]

Durant sa vie à Montréal, Jeanne Mance fut marraine d'au moins 46 enfants et présente à quantité de mariages aussi.[8]

Elle fut présente au mariage de Catherine Gauchet le 26 novembre 1665.[8] Catherine était une de ses recrues de 1659. Elle signe l'acte comme suit:

Jeanne Mance, signature

Recensement de l'île de Montréal en 1667
Jeanne Mance, administratrice, 63; Marie Moyen, 20; Françoise Bugot, 37; serviteurs : Pierre Hardy, 50; Pierre Doré, 48; Jean Robert, 30; Toussaint Baudry, 25; François Bots, 25; Charles Boyer, 35; Jean Roy, 20; Claude, 20; Nicolas Villenaud, 25; 22 bestiaux, 100 arpents en valeur.[9]

Testament
Testament olographe (16 février 1672) et codicille (27 mai 1673) de Jeanne Mance . - 16 février 1672-27 mai 1673 [10] (le document est visible à la source en cliquant l'image)

Décès et sépulture
Jeanne Mance décède le 18 juin 1673. Le 19 juin de ladite année a esté enterrée Mad'elle Jeanne Mance administratrice de l'hospital de ce lieu âgée de soixante six à sept ans prise audit hospital, son coeur a esté mis en dépot sous la lampe de la chapelle dudit hospital qui sert maint. de paroisse jusqu'à ce que l'église et commanderie soit en état.. l'apport selon ses volontés dont acte a esté fait par devant le sieur Basset notaire.[11][12] L'acte de sépulture qui nous est parvenu ne comprend pas de signatures, l'acte notarié comprend les signatures de Gilles Perot, curé de Montréal alors, Gabriel Souart supérieur des Sulpiciens et ancien curé de la paroisse, et Bénigne Basset, notaire.

Inventaire des biens de Jeanne Mance 19 juin 1673[13]

Biography

Jeanne Mance

Woman of heart, devoted to the cause, Jeanne Mance founded the Hôtel-Dieu of Montréal hospital and, if Paul de Chomedey sieur de Maisonneuve is the father of the city, Jeanne Mance is its mother.

Jeanne Mance was baptized on 12 November 1606 in Langres (St-Pierre-et-St-Paul), in Champagne (Haute-Marne), daughter of Charles Mance, procurator of the Langres baily, and of Catherine Émonnot.[1][2]

Her father disappears in 1630, her mother in 1632. She was the second child of twelve from the marriage. During her years in Langres, she devoted herself to her compatriots to face war (Thirty Years war), to the plague (5,500 victims in Langres and surrounding area), to misery. From her contact with the Jesuits of the city and the news from the first French missionnaries in America, she leaves her native city in 1640, to answer the call to the mission. After a few months in Paris, she embarked in La Rochelle in May 1641 with around fifty companions.[3]

Lay nurse trained by the Ursulines, Jeanne Mance was recruited in France by the Société de Notre-Dame de Montréal to establish a colony on the island of Montréal. A rich benefactress, Angélique Faure de Bullion, wished to have a hospital opened there similar to the Hôtel-Dieu run by the Augustines in Québec city. As soon as the colonists arrive in Montréal in 1642, a small dispensary was set up. Then, on 12 January 1644 in Paris, Mme de Bullion offered the funds needed for the construction of a new building outside the fortifications.[4]

Hôtel-Dieu de Montréal, opening
The hospital opens its doors and takes in its first patients the following year (8 October 1645). It will be led by Jeanne Mance until her death in 1673. It did not benefit from the protection of the fort, but possessed wider and more widespread land, as well as being higher. Other inhabitants will thereafter settle around the Hôtel-Dieu, giving birth to the burg of Montréal. Destroyed by fire on a few occasions, the hospital will be located in the same place (between Saint-Sulpice, Le Royer, Saint-Dizier and Saint-Paul streets) up to the middle of the XIXth century, when it will be moved to the northern limit of the city (on the present day Avenue des Pins).[4]

As soon as the Iroquois realized that the island was inhabited by whites, they started an implacable war. Jeanne Mance soon has wounded to bandage and sick to tend. In all haste the Hôtel-Dieu is built, a wooden building of sixty feet in length by twenty-four in width. It is no sooner complete that every corner is occupied. Day and night the charitable hospitalier is up and about, spending herself for the ill. She is not only looking out for all the suffering but also all the necessities of the Colony.[5]

1653, the Grande Recrue
Does she learn for example, that the Compagnie des Cent-Associés weakens and threatens even to die? She does not hesitate a moment, she takes to the sea again, goes to Paris and does not rest before having met and enlightened each of the interested persons on the true state of the colony. With multiple actions, she managed to get the Compagnie de Montréal reorganized. Back in Canada, she sees the ravages done by the Iroquois and the weakness of the resistance that can be opposed to them. The governor himself is near losing courage. She persuades him to go to France and raise a recruit levy. But he is so uncertain of having the necessary resources. She then has a plan, which will later cost her tears of blood. The Hôtel-Dieu possesses 22,000 livres. This is the foundation's money. Jeanne Mance cedes it. By an ingenious procedure, she got her benefactress to approve this act, who, without betraying herself, adds 20,000 more livres. With this help Maisonneuve can raise a levy of one hundred men for the Colony. [5] It's the Grande Recrue of 1653.

This is not enough for her devotion and enlightened zeal. But the hospitalier is wearing out, she is getting old. Other hands are needed to continue. All her efforts then tend to obtain for the nascent colony two of its strongest buttressses: the priests of the Compagnie de Saint-Sulpice and the hospitalier nuns of Saint-Joseph. And here she is again in France in 1659. Jeanne Mance returns to Montréal with Mère de Brésoles, and sisters Macé and Maillet.[5]

In 1659, Jeanne Mance was in France recruiting for Montréal. Several families had to borrow money from Mlle Mance to survive and get aboard the ship, which was the Saint-André.

Olivier Charbonneau, his wife and daughter ________ 175 Livres
Simon Cardinault, his wife and 2 children ___________ 225 "
Pierre Goyer, his wife and 1 daughter __(Goguet)____ 175 "
Jean Roy and his wife ________________________________ 150 "
Mathurin Thibaudeau, his wife and 4 children _______ 350 "
Jean Racaud, his wife and 3 children__________________ 275 "
Pierre Guiberge, his wife and 2 children______________ 225 "
Elie Beaujean, his wife and 2 children________________ 225 "

It's only in 1669 that many of them will finish reimbursing Jeanne Mance, they will receive a quitclaim from her before notary Bénigne Basset. The complete list of the 1659 recruits is found on pages 7-11 of Archange Godbout's work.[6]

The Saint-André leaves La Rochelle in July 1659. For 2 years, it had served as a hospital for the troops of the navy, but had not been disinfected in any way. There will be around 8 deaths by illness during the voyage because of this. The trip lasted 2 months, with multiple storms slowing it down. It finally arrived before Québec city on 9 September 1659, a number of passengers being sick. Finally, on 29 September Marguerite Bourgeoys, who was also on this voyage, will arrive in Montréal with the recruits able to get there.[6]

Compagnie de Saint-Sulpice becomes seigneur of the island
Several of its benefactors having died, the Société Notre-Dame de Montréal met with serious financial difficulties 20 years after the foundation of Montréal, having contracted important debts. To ensure the survival of the colony, the Société was dissolved on 9 March 1663 while ceding its rights on the seigneurie of Montréal to the Compagnie de Saint-Sulpice of Paris. The donation act is officialized in Paris on 9 March 1663, in the presence of Maisonneuve and of Jeanne Mance.[7]

Jeanne Mance was present at the marriage of Catherine Gauchet on 26 November 1665.[8] Catherine was one of her recruits from 1659. She signed the records as follows:

Jeanne Mance, signature

She was godmother of at least 46 children and present at a large number of marriages also, all in Montréal.[8]

Census of Île de Montréal de la Nouvelle-France in 1667 --- Jeanne Mance, administrator, 63; Marie Moyen, 20; Françoise Bugot, 37; servants: Pierre Hardy, 50; Pierre Doré, 48; Jean Robert, 30; Toussaint Baudry, 25; François Bots, 25; Charles Boyer, 35; Jean Roy, 20; Claude, 20; Nicolas Villenaud, 25; 22 beasts, 100 arpents in value.[9]

Testament
Jeanne Mance handwrote her testament on 16 February 1672, and added a codicil on 27 May 1673.[10] (Document visible at source by clicking the image)

Death and funeral
Jeanne Mance died on 18 June 1673. The 19 June of the said year was buried Mad'elle Jeanne Mance administratrix of the hospital of this place ageed from sixty six to sixty seven years taken at the said hospital, her heart was put in deposit under the lamp of the chapel of the said hospital which is currently serving as parish until the church and commanderie will be ready.. the apport per her will of which act was done before the sieur Basset notary.[11][12] The funeral record which has reached us does not bear signatures, the notarized act includes the signatures of Gilles Perot, curé of Montréal then, Gabriel Souart superior of the Sulpicians and former curé of the parish, and Bénigne Basset, notary.

An inventory of the property of Jeanne Mance was done on 19 June 1673[13]

Notes

Acte de dépôt du coeur de Jeanne Mance 19 juin 1673[14] Son coeur fut extrait de son corps et déposé dans la chapelle de l'Hôtel-Dieu sous la lampe. Her heart was extracted from her body and deposited in the chapel of the Hôtel-Dieu under the lamp.

Des documents de sa main ou de sa correspondance ont été découverts à Québec récemment. Ils incluent des contrats d'engagements des premiers colons de Montréal. Musée de la Civilisation

Monuments etc

Le 17 mai 2012, la Ville de Montréal a reconnu officiellement Jeanne Mance comme cofondatrice de la cité. En novembre 2014 le Vatican a reconnu les "vertus héroïques" de Jeanne Mance en la proclamant Vénérable. On 17 May 2012, the city of Montréal officially recognized Jeanne Mance as cofounder of the city. In November 2014 the Vatican recognized her heroic virtues by proclaiming her Venerable.[3]

Un document du 11 août 1667 montre sa signature parmi de multiples notables de la l'époque. A document from 11 August 1667 shows her signature among that of multiple notables of the era. BAnQ: Signature de Jeanne Mance tiré des registres du Conseil Supérieur

Plusieurs monuments lui sont dédiés à Montréal, on peut en voir des photos Several monuments are dedicated to her in Montréal, some photos can be seen ici/here

Jeanne Mance a aussi un parc à son nom entre l'Avenue du Parc et de l'Esplanade, en face du Mont Royal. Jeanne Mance also has a park named for her between Avenue du Parc and de l'Esplanade, across from Mount Royal. Wikipédia: Parc Jeanne-Mance

Une rue Jeanne-Mance traverse Montréal par tronçons découpés aussi. A Jeanne-Mance street crosses Montréal in cut-up sections also. Wikipédia: rue Jeanne-Mance street

La ville de Langres lui dédia aussi un monument. The city of Langres also dedicated a monument to her. BAnQ: Inauguration du monument en l'honneur de Jeanne Mance: affiche de la ville de Langres Monuments de Langres: Jeanne Mance

Sources

  1. 1.0 1.1 Bapt. image Fichier
  2. 2.0 2.1 Fichier Jeanne Mance 2016 Fédération québécoise des sociétés de généalogie//Québec Federation of Genealogical Societies
  3. 3.0 3.1 3.2 Monuments de Langres: Jeanne Mance
  4. 4.0 4.1 4.2 4.3 [https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/evenements/ldt-895 BAnQ: Ouverture de l’Hôtel-Dieu de Montréal 8 octobre 1645]
  5. 5.0 5.1 5.2 5.3 5.4 5.5 BAnQ: Nos premières missionnaires : I Marie de l'Incarnation, II Catherine de Saint-Augustin, III Jeanne Mance, IV Marguerite Bourgeoys, pg 14-20
  6. 6.0 6.1 6.2 6.3 Les passagers du Saint-André : la recrue de 1659 / P. Archange Godbout, publication de la SGCF #5, 1964 Montréal Pgs 11 etc
  7. 7.0 7.1 BAnQ: Acquisition de la seigneurie de l'île de Montréal par la Compagnie de Saint-Sulpice 9 mars 1663
  8. 8.0 8.1 8.2 8.3 Quebec, Vital and Church Records (Drouin Collection), 1621-1997 - Drouin IGD
  9. 9.0 9.1 Recensements de 1666-1667 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens Français de Benjamin Sulte, compilés par Jean-Guy Sénécal le 17 mars 1998
  10. 10.0 10.1 Cote : CN601,S17,D596 Fonds Cour supérieure. District judiciaire de Montréal. Greffes de notaires - BAnQ Vieux-Montréal Id 489252 Testament olographe (16 février 1672) et codicille (27 mai 1673) de Jeanne Mance
  11. 11.0 11.1 Sépulture-Funeral image IGD
  12. 12.0 12.1 BAnQ: Acte de dépôt du cœur de Jeanne Mance (06M,CN601,S17,D835)
  13. 13.0 13.1 19 juin 1673 Cote : CN601,S17,D834 Fonds Cour supérieure. District judiciaire de Montréal. Greffes de notaires - BAnQ Vieux-Montréal Id 489254
  14. Cote : CN601,S17,D835 Fonds Cour supérieure. District judiciaire de Montréal. Greffes de notaires - BAnQ Vieux-Montréal Id 489256




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Hi George


You might want to use the following, which you can copy and paste, source attribution should follow the guidelines set at the bottom of their page. You can also find a French version of her bio from the same source, which would be good to have present. If you want me to do it for you, I'll be more than happy to oblige.


Danielle


http://www.biographi.ca/en/bio/mance_jeanne_1E.html

posted by Danielle Liard