Il migra vers le Canada vers 1663 et il est mentionné pour la première fois au Canada en 1665 (selon Fichier Origine), le 15 septembre 1663 à Château-Richer lors du baptême d'Antoine Trudelle, étant parrain de l'enfant.[8].[5][9]
Ayant le 20 février 1665 passé un contrat de mariage passé devant le notaire Claude Auber, il épousa en premières noces Marie Doyon (née le 25 mars 1652, fille de Jean Doyon et Marthe Gagnon, originaire de Québec) le 9 février 1666 à Château-Richer.[1][2]
Élisabeth (1676 - 1680) (Note: sa marraine fut Élisabeth Gravel, aucune parenté mentionnée)
Notes
Requête afin d'insinuer le contrat de mariage entre Antoine Lefort, et Anne Havard (Arinart), veuve en première noce du feu Jean Réal, ladite requête en date du 20 juin 1678, suit le contrat dudit mariage entre Antoine Lefort, veuf en première noce de la feue Marie Doyon, et Anne Havard (Arinart), veuve en première noce du feu Jean Réal.; 6 février 1678 [Document insinué le 12 juillet 1678]
Description: La pièce se compose d'une requête afin d'insinuer le contrat de mariage entre Antoine Lefort, et Anne Havard (Arinart), veuve en première noce du feu Jean Réal, ladite requête en date du 20 juin 1678, suit le contrat dudit mariage entre Antoine Lefort, veuf en première noce de la feue Marie Doyon, habitant de l'île Saint-Laurent, et Anne Havard (Arinart), veuve en première noce du feu Jean Réal, de son vivant habitant de l'île Saint-Laurent, sont présent Jacques LeSot, père en loi de ladite feue Doyon, Nicolas Doyon, Antoine Doyon, Vincent Gagnon, maître Robert Choret, maître Mathieu Côté, Martin Côté, Jean Chôret, Laurent Denis, Michel Aubin, tous parents et amis des futurs époux, Pierre Roberge dit LaPierre et maître Mathurin Chabot, sont témoins.[16]Note: Le nom d'Anne a été transcrit Havard, mais en fait peut se lire Hanard, les N et V sont faits de même façon dans cet acte. C'est le notaire Gilles Rageot qui fait l'insinuation. Le contrat original fait par Claude Auber semble être dans les mains de Rageot, il n'est pas dans les contrats de Claude Auber disponibles au BAnQ.
Permission à Antoine Lefort, habitant de l'île et du comté de Saint-Laurent, de faire insinuer au greffe de la Prévôté de Québec, son contrat de mariage avec Anne Arinart, veuve de Jean Réal; 20 juin 1678
Description: Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Vu la requête présentée au Conseil par Antoine Lefort habitant de l'île et comté Saint-Laurent, contenant qu'ayant convolé en secondes noces avec Anne Arinart (Havard) auparavant veuve de Jean Réal, ladite Arinart (Havard) par leur contrat de mariage lui aurait fait donation de tous ses biens meubles et héritages, pour en jouir à toujours comme de son propre lui et ses hoirs, aux réserves portées par ledit contrat passé par-devant Claude Auber notaire royal le sixième février dernier, mais ledit notaire n'ayant fait mention par ledit contrat qu'il fût sujet a insinuation le suppliant lui ayant demandé quelque temps après si elle n'était pas nécessaire pour la validité de ladite donation, il lui dit qu'oui, et que pourvu qu'il la fît faire vers la fête Saint-Jean-Baptiste prochain cela suffirait et que l'exposant étant présentement en cette ville, il a avis que le temps en est passé et qu'il lui est nécessaire d'avoir recours à la Cour, n'y ayant encore de chancellerie établie en ce pays, pour lui être sur ce pourvu; requérant ledit exposant qu'il lui plaise le relever du temps expiré au-dedans duquel ledit contrat devait être insinué, et en ce faisant ordonner que ladite insinuation sera faite en la prévôté royal de cette ville, pour lui servir et valoir ainsi que si elle avait été faite dans le temps prescrit par l'ordonnance, vu aussi ledit contrat de mariage ci-dessus daté signé Auber, ouï et ce consentant le procureur général tout considéré, la Cour relève ledit Antoine Lefort dudit défaut d'insinuation qui ne pourra lui préjudicier ni empêcher que ladite donation ne sorte son plein et entier effet le cas advenant, à la charge que ledit contrat de mariage sera à sa diligence insinué dans un mois à la prévôté royal de cette ville et ou besoin sera. DUCHESNEAU.»[17]
↑ 5.05.1 Les numéros supérieures à #267, qui sont chaque avec astérique, s'ajoutent à la liste de Carpin tel qu'indiqué dans la liste chronologique qu'on peut voir à la page Percheron Immigration Category.
↑ Tourouvre est depuis le 1e janvier 2016 connue comme la nouvelle commune française de Tourouvre-au-Perche (INSEE 61190) située dans le département de l'Orne en région Normandie. Cette nouvelle commune regroupe les anciennes communes d'Autheuil, Bivilliers, Bresolettes, Bubertré, Champs, Lignerolles, La Poterie-au-Perche, Prépotin, Randonnai et Tourouvre qui deviennent des communes déléguées.
↑BAnQ Cote : CR301,P201 6 février 1678 (Document insinué le 12 juillet 1678) Fonds Cour supérieure. District judiciaire de Québec. Insinuations - BAnQ Québec Id 81331
Jetté, René (1983). Dictionnaire généalogique des familles du Québec. Des origines à 1730. Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal. xxx-1180 pages
Lesperance, Jerry (December 2002). Le Perche, Vermont French-Canadian Genealogical Society
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