Contents |
JEAN LALONDE Status : Immigrant
Jean Lalonde (de Lalonde dit L'espérance) was born about 1641 in Le Hâvre, diocese of Rouen, in Normandie, France, son of Phillipe Lalonde and Jeanne Duval.
Jean reportedly joined the Carignan-Salières Regiment, either in the Saurel company or Monteil company. In 1665 the Carignan-Salieres Regiment was sent by the King of France, Louis XIV, to address the problems being caused by the Iroquois in New France.
In the summer of 1665, the regiment arrived in Quebec City, between June and September, on six ships. Jean Lalonde arrived in the third week of August aboard either "L'Aigle d'Or" or the "Saint-Sébastien".
In 1668, the regiment returned to France. Jean Lalonde was one of 411 veterans of the Carignan-Salières regiment who settled in Canada. Soldiers were encouraged to settle and were given a grant by the King of 50 livres and a year's worth of supplies. Land grants were also given to officers (seigneuries) who would parcel them out to their soldiers.
In 1667, Jean set his mind on marrying. At first, he chose Françoise Herbert, who had already had one marriage contract canceled, but ultimately, decided on marrying Jean Baptiste dit Saint-Amour.
Jean remained determined to marry a "Fille du Roi" and settled on Marie Poiré from Paris. The marriage contract was signed September 27, 1669 at Lanoraie, but the contract was also canceled and Marie married Jean Hardy. Jean tried again with Perette Vaillant. This contract had been signed on October 13, 1669. This contract was also canceled.
Jean's contract with Marie Barbant was finally successful and ended in marriage. The contract had been signed on November 14, 1669 (drawn up by Notary Antoine Adhémar). Marie was the daughter of Alexandre Barbant and Marie Lenoble of Dieppe, parish of Saint-Remy, France.
They had five children together, four of them are listed here: Marie Madeleine (m. Guillaume Daoust), Jean Baptiste (m. Marguerite Matha), Jean (who died days before his 3rd birthday) and Guillaume (m. Marie Madeleine Allen).
On September 30, 1687, Jean Lalonde was killed, along with nine others, in a fight between the Iroquois on the shores of Lac St-Louis. All ten men were buried at the Baie d'Urfé. In 1866, the bodies were discovered and were re-buried in the church of Ste-Anne-du-Bout-de-l'Île (Ste-Anne-de-Bellevue).[2].
Jean Lalonde dit l'Espérance
Jean, le premier Lalonde arrivé en 1665 en Nouvelle-France, déclare qu'il est originaire de la paroisse Notre-Dame du Havre à Rouen en Normandie quand il épouse Marie Barbant.
Jean de Lalonde dit l'Espérance était soldat de la compagnie Sorel du régiment Carignan-Salières, ou de la compagnie Monteil selon Marcel Fournier[3]. Il se serait embarqué au Havre pour arriver à Québec à la troisième semaine d'août 1665. Il serait arrivé en Nouvelle-France sur le bateau Aigle d'or ou Saint-Siméon. Aucune preuve ne vient cependant étayer cette affirmation. Mais plusieurs soldats surnommés l'Espérance sont arrivés avec le régiment de Carignan.
Le 4 novembre 1667, il passe un contrat de mariage devant le notaire Romain Becquet, avec Françoise Hermel (Herbert, Herrubert) (28 ans) de Pointe-aux-Trembles, fille d'un hôtelier du Havre, qui épousa plutôt Jean-Baptiste St-Amour, le 3 mai 1668. Elle apportait des biens estimés à 300 livres [4][5][6]
Le 19 octobre 1668, Jean de Lalonde signe un contrat devant le notaire Romain Becquet pour travailler à la seigneurie d'Autray à Lanoraie au profit d'Anne Gasnier, veuve du seigneur Jean Bourdon.[4]
Le 27 septembre 1669, Jean passe un deuxième contrat de mariage devant le notaire Pierre Duquet avec Marie Poiré (28 ans) dans la seigneurie d'Autray. C'est une parisienne de la paroisse Saint-Laurent, qui épousa finalement Jean Hardy, le 21 octobre 1669. Elle apportait des biens estimés à 950 livres et un don de 50 livres du roi.[4][7][6]
Le 13 octobre 1669, Jean passe un troisième contrat de mariage devant le notaire Pierre Duquet, avec Perrette Vaillant, une parisienne de la paroisse Saint-Germain l'Auxerois, qui avait des biens estimés à 250 livres et un don de 50 livres du roi. Nulle trace de cette fille après 1669.[4][8][6]
Le 22 octobre 1669, juste avant son mariage à Marie Barbant, Jean de Lalonde obtint un terre d'Anne Gasnier sur sa seigneurie d'Autray. La seigneurie est située à Lanoraie, à l'est de Montréal, sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent, en face de Sorel qui est sur la rive sud du fleuve.[4]
Marie Barbant contracte mariage devant le notaire Antoine Adhémar, le jeudi 14 novembre 1669, avec Jean de Lalonde dit Lespérance, fils de feu Philippe de Lalonde et de Jeanne Duval, de la paroisse Notre-Dame du Hâvre, archevêché de Rouen en Normandie.[9]
Le contrat de mariage fut signé dans la maison de Gabriel Gibault et de son épouse Suzanne Durand[11] L'acte de mariage comme tel est perdu. Il est possible que le mariage eut lieu à Sorel, endroit où on les trouve au début de leur mariage, et dont les registres pour l'époque ne sont que partiels.
Enfants connus du mariage
Le 15 janvier 1671, Anne Gasnier proteste devant le notaire Romain Becquet à propos des travaux inachevés sur sa seigneurie. Jean de Lalonde lui signera plus tard (le 11 mars 1674) une obligation de 300 livres.[13][14][6]
Cession et abandon de François Saugé à Jean Lalonde (18 octobre 1671). (N° 706.) Notaire Gilles Rageot Vol III pg 251[6]
Le 13 novembre 1673, Jean vend sa terre à d'Autray.[15][6]
Le 13 juillet 1674, il loue une terre à l'île Perrot. Il travaille pendant quelque temps pour François Perrot avec Robert Henry, qui sera parrain de son fils Jean Baptiste en 1675, mais cette association ne fonctionne pas. Ses associés font la traite des fourrures avec les indiens en leur donnant de l'alcool et Jean ne voulait pas être complice de cette manoeuvre illégale. Le 17 mars 1675, Jean résilie son bail à l'île Perrot.[16][6]
En 1675, la famille Lalonde est installée à Ville-Marie chez Jean Gervaise.
Constitution de rente annuelle par Jean Lalonde à Barthellemy LeMaistre (28 septembre 1677). Notaire Bénigne Basset Vol I pg 254[6]
Le 10 décembre 1678, Jean de Lalonde, ses deux enfants et sa femme Marie sont les premiers colons qui s'installent dans une concession de 120 arpents de terre dans la mission de Saint-Louis du Haut de l'Île, qui deviendra plus tard Baie d'Urfé.
Constitution de rente annuelle et rachetable de vingt livres à Barthélémy Lemaistre par Jean Lalonde et Marie Barbary sa femme. (29 décembre 1678). Notaire Claude Maugue Vol IX pg 18[6]
Recensement 1681: Fief Verdun
Le 26 octobre 1682, Jean obtient un autre concession de 120 arpents sur les bords du lac Saint-Louis, accordée par François Dollier, supérieur du séminaire des Sulpiciens de Montréal. Ce lot à Baie d'Urfé est situé à la Pointe Saint-Louis, adjacente au terrain réservé pour la construction de l'église paroissiale. Aujourd'hui, ce terrain commence à la Pointe Caron et va jusqu'au chemin de fer. Les rues Westchester, Warwick, Cornwall, Victoria et Surrey de Baie d'Urfé traversent la propriété. La rue Dorset la coupe au milieu et, au bord de l'eau, se trouve le Yacht Club de Baie d'Urfé.[18][6]
En 1682, ce territoire est considéré comme une mission de la paroisse des Saints-Anges de Lachine. Comme il n'y a pas d'église, c'est dans la maison de Jean de Lalonde que le curé Rémy fait des baptêmes et "dit ordinairement la messe de cette mission". En août 1684, Jean de Lalonde est nommé marguillier de la Mission du Haut de l'Île. En 1685, une chapelle est construite sur la terre de Jean de Lalonde, et l'évêque Saint-Valliers inaugure la paroisse sous le nom de St-Louis du Haut de l'Île, qui sera séparé plus tard pour devenir Baie d'Urfé, d'après le nom du premier curé François Lescaris d'Urfé, sulpicien. Jean de Lalonde en est le premier marguillier.[19]
Le 15 novembre 1686, Jean de Lalonde obtient une nouvelle concession de six arpents accordée par François Dollier.[20][6]
Le 21 mars 1687, vente de la concession de 120 arpents (acquise le 26 octobre 1682) au sieur de Blainville.[21][6]
Le 29 septembre 1687, les Iroquois attaquent Jean et quatre autres travailleurs dans les champs près de leur maison et ils sont tués. Les victimes sont enterrées à la chapelle Saint-Louis. Jean avait 47 ans; il laisse dans le deuil sa femme Marie, ses deux garçons, Jean-Baptiste (12 ans) et Guillaume (3 ans) ainsi que sa fille Madeleine (15 ans) mariée l'année précédente à Guillaume Daoust.[22][9] Sa sépulture le nomme Jean de Lalonde dit Lespérance et lui donne 47 ans. Il est inhumé à Ste-Anne-de-Bellevue,[23] autrefois appelé Ste-Anne-du-Bout-de-l'Île, qui fut précédemment la mission St-Louis.[19] En 1866, les dépouilles des hommes furent exhumées et inhumées à nouveau dans la crypte de l'église de Ste-Anne de Bellevue par Georges Chèvrefils, curé de la paroisse.[24] Jean de Lalonde dit l'Espérance, Marquis Claude DelaMothe de Jourdin, Jean-Baptiste LeSueur, Louis Jets, Jean Vincent, Pierre Bonneau dit Lajeunesse, Pierre Perthuis, Henri Fromageau, Pierre Petiteau, Pierre Camus dit Lafeuillade... cinq [25] furent inhumés le 30 septembre 1687. 8, 9 10,
Après son décès, les Sulpiciens donneront les concessions à son épouse.
Concession de cinq arpents de terre à Montréal, par le Séminaire de Montréal, à Marie Barban veuve de Jean Delalonde dit Lespérance habitant de la paroisse St-Louis en l'île de Montréal (29 novembre 1687). Notaire J.B. Pottier Vol XI pg 170[6]
Concession d ’une terre au lieu appelé le lac au Renard, par le Séminaire de Montréal, à Marie Barban veuve de Jean Delalonde (1er décembre 1687). Notaire J.B. Pottier Vol XI pg 170[6]
Ce texte provient de Nos Origines, qui ont copié/collé une grande partie d'un texte de Claude Jutras. L'homme recensé en 1666 au collège des jésuites de Sillery est inscrit Jean de LALANDE, et non LALONDE, et est dit avoir 22 ans. Il est homme de travail, avec d'autres qui sont dits domestiques engagés. Il est soit domestique engagé chez les jésuites, soit soldat du régiment, il ne peut être les deux en même temps. Le régiment quitte la Nouvelle-France en 1668 seulement. Comme il fait un contrat de mariage en 1667, c'est à savoir s'il s'agit vraiment d'un soldat.
Recensement 1666:
SILLERY, contenant tous les habitants du CAP-ROUGE et ST-FRANÇOIS-XAVIER
Le collége des PP. jésuites du dit Sillery.- RR. PP.Henry le Nouvel et Louis Nicolas ; le frère Jean Feuille. Hommes de travail du dit Sillery : Gabriel Le Mire, 24, Jean de Lalande, 22, Louis Pallardy, 22, Pierre Portret, 26, Louis Salin, 22, et Jacques Dubois, 18, domestiques engagés ; Pierre Lefay, 30, meunier, engagé.[26]
Fromyourfolks.com listing of parish marriages in Quebec, Canada
A genealogical dictionary of families, 1621-1799 Quebec and French-Canada (http://www.genealogy.umontreal.ca/en/LaBaseDeDonnees#Dictionnaire PRDH)
Jean Lalonde (PRDH Individual # 19283) (https://www.prdh-igd.com/Membership/fr/PRDH/Individu/19283: accessed 15 Jun 2018)
Marriage Contract Jean De Lalonde and Marie Balan (PRDH Acte # 94399) (https://www.prdh-igd.com/Membership/fr/PRDH/Acte/94399 : accessed 15 Jun 2018)
Family Jean Lalonde and Marie Barbant Balan Barby (PRDH Famille # 3063) (https://www.prdh-igd.com/Membership/fr/PRDH/Famille/3063 : accessed 15 Jun 2018)
From Aline Bergmann, aline_bergmann@@yahoo.com "Aline's French-Canadian and Acadian Ancestors:
Killed in a skirmish with the Iroquois on the shores of Lac Saint-Louis
From Lalonde Family Website
Our first ancestor Jean was living in Baie D'Urfé when he was killed by the Iroquois in 1687.
Have you taken a DNA test? If so, login to add it. If not, see our friends at Ancestry DNA.
Jean is 18 degrees from John James Audubon, 18 degrees from Jacques-Yves Cousteau, 30 degrees from Gerald Durrell, 19 degrees from Dian Fossey, 18 degrees from Steve Irwin, 30 degrees from Ernest Just, 23 degrees from Ian Player, 17 degrees from Peter Scott, 22 degrees from Antoon van Hooff and 19 degrees from Marta Johnson on our single family tree. Login to find your connection.
L > Lalonde | L > Lalonde dit Lespérance > Jean (Lalonde) Lalonde dit Lespérance
Categories: Migrants de Normandie au Canada, Nouvelle-France | Ste-Anne-du-Bout-de-l'Ile, Canada, Nouvelle-France | Fief Verdun en 1681 | Carignan-Salières Regiment