| Magdeleine Thérèse (Sale) Sallé est une des Filles du Roi Join: Filles du Roi Project Discuss: filles_du_roi |
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Magdeleine Thérèse Sallé variation: Salé (note, elle signe Sallé, voir image du mariage sur profil)
Fille de Claude Sallé, peintre ordinaire du roi, et de Madeleine Montallié, Magdeleine Thérèse nait à Paris, paroisse St-Médard, en Île-de-France. On estime sa date de naissance comme étant en 1654, aucun document trouvé ne lui donnant d'âge. À noter que son mariage ne le spécifie pas, mais son contrat de mariage spécifie pour ses parents: déffunt honorable homme Claude Sallé, vivant peintre ordinaire du Roy, et d'honorable femme Magdeleine Montallié.[1]
Elle arrive à Québec le 31 juillet 1670 à bord du vaisseau La Nouvelle France[2] comme fille du Roy, sachant signer.[3]
Mariage
Claude Raimbault et Magdeleine Thérèse Sallé firent un contrat de mariage devant le notaire Bénigne Basset le 14 décembre 1670.[4][1]
Le 15 décembre 1670 à Notre-Dame de Montréal, Claude Raimbaut, maître menuisier, fils de René Raimbaut et de Claude Marchand, de la paroisse de St-Jean de Chasay Henry, évêché d'Angers, épousa Magdeleine Thérèse Sallé, fille de Claude Sallé maître peintre et de Magdelaine Montallié de la paroisse de St-Médard à Paris, les 3 bans publiés sans opposition, le mariage fait en présence de Gabriel Souart ancien curé de la paroisse, de noble homme Pierre Picotté sieur de Belestre, Jean Baptiste Migeon sieur de Branssat proc. fiscal de la seigneurie, Pierre Gadois maître armurier, Abraham Bouat, Henry François Sabatier, Pierre Caillé, et plusieurs autres, tous amis communs des parties, Gilles Perot curé célébrant. Signatures multiples sur l'acte.[5]
Enfants du mariage tous nés et baptisés à Montréal (ND)
On ne sait pas s'ils eurent d'autres enfants en France.
Le 3 novembre 1673 à Notre-Dame de Montréal, Jean Martinet de Fonblanche, maitre chirurgien, fut parrain, et Magdelaine Thérèse Sallé épouse de Claude Raimbault maitre charpentier, fut marraine de Magdelaine Thérèse Gadois. Le père ainsi que le parrain et la marraine signent le document.[9]
Madeleine Thérèse retourne en France en 1680 avec leurs enfants, on ne sait pas sur quel navire.[10] Elle rappelle son mari par lettre de Paris le 15 mars 1681 selon Jetté.[7]
La dernière présence trouvée de Claude Raimbaut dans les registres religieux de la colonie est en date du 12 octobre 1681 lorsqu'il fut témoin à la sépulture d'Hubert Leroux à Montréal.[8] Le dernier acte notarial est une sentence arbitrale devant Claude Maugue en janvier 1682. Le résumé ne spécifie pas s'il était présent lors de cet arbitrage. En 1683 un acte cite François Hervé comme son procureur dans une quittance.[4] On le dit parti en 1681, navire inconnu.[11] Il serait possiblement retourné en France en 1682 plutôt.
Au contrat de mariage de sa fille Marie Geneviève le 9 janvier 1700 à Paris, Madeleine Thérèse est présente, Claude est cité défunt déjà. Il était de son vivant commis aux aides à Paris. (voir actes notariaux, dernier)
Au mariage de leur fils Pierre en 1707, Claude et son épouse Madeleine Thérèse sont tous deux cités défunts.[6]
Magdeleine Thérèse Sallé variation: Salé (note, she signs Sallé, see image of marriage on profile)
Daughter of Claude Sallé, ordinary painter for the king, and of Madeleine Montallié, Magdeleine Thérèse was born in Paris, parish of St-Médard, in Île-de-France. Her date of birth is estimated as being in 1654, no document found gives her an age. Note that her marriage doesn't specify it, but her marriage contract specifies for her parents: deceased honorable man Claude Sallé, in life ordinary painter for the King, and honorable woman Magdeleine Montallié.[1][12]
Madeleine Thérèse left France in 1670 aboard the ship La Nouvelle France arriving in Québec city on July 31st, 1670[2] as a Fille du Roy, knowing how to sign.[3]
Marriage
Claude Raimbault and Magdeleine Thérèse Sallé entered into a marriage contract before notary Bénigne Basset on 14 December 1670.[4][1]
Madeleine Thérèse married Claude Raimbaut on December 15th, 1670 in Notre-Dame de Montréal. [5][13]. The list of persons cited present and additional signatures on the record are fairly impressive.
Madeleine Thérèse and Claude lived in Montréal and had five children there:
It is unknown if they had more children after their return to France.
On 3 November 1673 in Notre-Dame de Montréal, Jean Martinet de Fonblanche, master surgeon, was godfather, and Magdelaine Thérèse Sallé wife of Claude Raimbault master carpenter, was godmother of Magdelaine Thérèse Gadois. The father was well as the godparents sign the act.[9]
Magdeleine Thérèse returned to France in 1680 with her children. It is unknown which ship she sailed on.[10] She wrote to her husband on 15 March 1681 from Paris, calling him to join her there according to Jetté.[7]
The last presence found of Claude Raimbaut in religious records of the colony is on 12 October 1681 when he was witness at the funeral of Hubert Leroux in Montréal.[8] The last notarial act is an arbitration sentence before Claude Maugue in January 1682. The summary does not specify if he was present at this arbitration. In 1683 an act cites François Hervé as his procurator in a quitclaim.[4] He is said to have left in 1681, unknown ship.[11] He possibly returned to France in 1682 rather. Ship departure dates for 1681 have not been located.
At the marriage contract of her daughter Marie Geneviève on 9 January 1700 in Paris, Madeleine Thérèse is present, Claude is cited deceased already. he was in life clerk to the aides in Paris. (see notarial acts, last one)
At the marriage of their son Pierre in 1707, Claude and his wife Madeleine Thérèse are both cited deceased.[6]
Notaire Bénigne Basset Vol I[4]
Notaire Claude Maugue Vol IX[4]
Contrat de mariage de sa fille à Paris:
Le 09.01.1700 devant Nicolas de Savigny I et son confrère, Étude XLIV 150
Henri Laurent, marchand mercier, demeurant à Paris rue du Bourg-Labbé, paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, fils de Jacques Laurent, demeurant à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), et défunte Marguerite Pariset, pour lui et en son nom, et Marie-Geneviève Raimbaud, fille de défunt Claude, commis aux aides à Paris, et de Madeleine-Thérèse Sallé, sa veuve, demeurant rue du Vieil-Colombier, paroisse Saint-Sulpice, aussi pour elle et en son nom. En présence de sa mère, Geneviève Sallé, fille majeure jouissante de ses biens et droits, demeurant rue du Vieil-Colombier, tante maternelle. Laquelle tante donnera à la future pour l’amitié quelle lui porte 2000 livres de dot dont 1500 en deniers comptants, et le reste en meubles, linge, hardes. La moitié des 2000 livres entrera dans la communauté. 800 livres de douaire préfix. Les 1500 livres ont été données le 24.01.1700 en louis d’or et d’argent. Les deux futurs signent comme Madeleine Thérèse et Geneviève Sallé.[20]
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Featured National Park champion connections: Magdeleine Thérèse is 16 degrees from Theodore Roosevelt, 15 degrees from Stephanus Johannes Paulus Kruger, 17 degrees from George Catlin, 17 degrees from Marjory Douglas, 21 degrees from Sueko Embrey, 18 degrees from George Grinnell, 25 degrees from Anton Kröller, 19 degrees from Stephen Mather, 23 degrees from Kara McKean, 20 degrees from John Muir, 15 degrees from Victoria Hanover and 27 degrees from Charles Young on our single family tree. Login to find your connection.
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