Jean Amiot (abt. 1625 - 1648)

Born about 1625 in Île-de-France, France

Ancestors

Died 23 May 1648 at about age 23 in fleuve Saint-Laurent, en face de Trois-Rivières, Canada, Nouvelle-France

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Jean Amiot migrated from France to New France.

Biographie

Jean Amiot appelé Antaïok par les amérindiens.

Il se noie le 23 mai 1648 à Trois-Rivières, en même temps que Francois Marguerie. Inhumé le 10-6-1648 à la mission St-Joseph de Sillery^[1] (enregistré à Notre-Dame de Québec)

AMIOT (Amyot), JEAN, interprète et engagé des Jésuites chez les Hurons, fils de Philippe Amiot et d’Anne Convent, venus des environs de Soissons vers 1635, probablement né en France vers 1625, décédé en 1648.

Jean Amiot (frère de Mathieu et de Charles Amiot) passa plusieurs années au pays des Hurons et paraît avoir séjourné à Trois-Rivières à partir de 1645. Les sauvages l’appelaient Antaïok. En 1647, il captura à la course un Iroquois qui aurait assassiné le père Jogues. Athlète remarquable, il l’emporta sur tous les jeunes sauvages qui, dans un tournoi, à Québec, voulurent se mesurer à la course avec lui, soit à pied, soit en raquettes. Jean Amiot était sur le point de se marier quand, le 23 mai 1648, il se noya, en face de Trois-Rivières, avec un compagnon, François Marguerie. Son corps, porté par le courant, fut retrouvé le 10 juin devant la mission Saint-Joseph de Sillery, où eut lieu l’inhumation. Ses biens à Trois-Rivières furent vendus à Jacques Leneuf de La Poterie, le 18 octobre 1649. La Relation de 1648 affirme que Amiot et Marguerie « ont esté bien regrettez en ce pays, tant pour leur vertu que pour la connoissance qu’ils avoient des langues [...]. Ils estoient tous deux vaillans & adroits, & ce qui est plus à priser que tout cela, ils menoient une vie fort innocente au jugement de tout le pays ».

Honorius Provost^[2][3]

Biography

AMIOT (Amyot), JEAN, interpreter and indentured employee of the Jesuits among the Hurons; son of Philippe Amiot and of Anne Convent, who came from the neighbourhood of Soissons around 1635, and brother of Mathieu and Charles Amiot, who were also associated with the Jesuit missionaries; b. probably in France about 1625; d. 1648.

Jean Amiot spent several years in the Huron country, and seems to have lived at Trois-Rivières from 1645 on. The Indians called him “Antaïok.” In 1647 he outran and captured an Iroquois who had taken part in the martyrdom of Father Isaac Jogues. He was a remarkable athlete; in a tournament at Quebec he beat all the young Indians who tried to race against him, either on foot or on snowshoes. On 23 May 1648, when he was about to get married, Jean Amiot was drowned off Trois-Rivières with a companion, François Marguerie. His body was carried down by the current and recovered on 10 June opposite the Saint-Joseph de Sillery mission, where the burial took place. His possessions at Trois-Rivières were sold to Jacques Leneuf de La Poterie on 18 Oct. 1649.

The 1648 Relation states that Amiot and Marguerie “were much regretted in that region, both for their virtue and for their knowledge of the languages. . . . They were both of them brave and skilful, and, what is more estimable still, they lived a most blameless life, according to everybody’s opinion.”

Honorius Provost^[4]

Sources

1. ↑ Sépulture-Funeral image IGD
2. ↑ AJQ, Greffe de Guillaume Audouart, 18 oct. 1649.—JJ (Laverdière et Casgrain).— JR (Thwaites).— BRH, XI (1905) : 217 ; XXIII (1917) : 161.— Godbout, Nos ancêtres, RAPQ, 1951–53 : 488.
3. ↑ Honorius Provost, « AMIOT (Amyot), JEAN », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 21 oct. 2018
4. ↑ Honorius Provost, “AMIOT (Amyot), JEAN,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 1, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed October 21, 2018