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Antoine (Berson) Berson dit Chatillon (1636 - bef. 1665)

Antoine Berson dit Chatillon formerly Berson aka Chatillon
Born in Paris, Saint-Jacques-de-la-Boucherie, Île-de-France, Francemap
Brother of
Husband of — married 19 Nov 1663 in Château-Richer, Canada, Nouvelle-Francemap
Descendants descendants
Died before before age 29 in Château-Richer, Canada, Nouvelle-Francemap [uncertain]
Problems/Questions
Profile last modified | Created 23 Dec 2015
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Contents

Biography

Antoine Berson

Date estimée de naissance, aucun acte trouvé ne lui donne d'âge.

Fils d'Eustache Berson et de Madeleine Pescheux (ou Pescheur) de Paris, paroisse de Saint-Jacques-de-la-Boucherie, [1][2][3]

Occupation à l'arrivée: Marchand

Selon Archange Godbout, Antoine Berson est présent dans la colonie dès janvier 1658, étant témoin d'un acte le 15 dudit mois devant le notaire Jean Baptiste Peuvret du Mesnu, ainsi que le 25 mars.[2] Il est donc dans la colonie depuis 1657 au moins, les navires n'y venant pas en hiver.

Mariage
Antoine Berson dit Chatillon et Marguerite Bélanger firent un contrat de mariage devant le notaire Guillaume Audouart le 9 septembre 1663.[4]

Le 19 novembre 1663 à Château-Richer, Antoine Berson épousa Marguerite Bélanger.[5][1][2][3]

2 enfants du mariage, dont une seule vivra pour se marier, l'autre décédant à 1 mois, enfant posthume.[6][1][2][3]

Décès
Antoine Berson décède entre le 16 février 1665, date à laquelle il est parrain de Jeanne Verdon à Château-Richer[7], et l'inventaire fait par le notaire Claude Auber le 4 juillet 1665.[4] Sa sépulture n'a pas été identifiée.

Notes

Actes notariaux

Notaire Guillaume Audouart Vol I[4]
-Vente de Chas LeFrançois à Ant. Berson de Chatillon (29 août 1663). pg 114
-Contrat de mariage d’Antoine Berson de Chastillon et Margte Bélanger (9 septembre 1663). pg 115

Notaire Claude Auber Vol I[4]
-Marché entre André Barbeau et Antoine Berson Sr de Chatillon (10 décembre 1663). pg 126
-Inventaire des biens meubles et héritages de la succession de feu Antoine Berson de Chatillon et de Marguerite Bélanger (4 juillet 1665). pg 129
-Inventaire des biens de feu Antoine Berson de Chatillon et de sa veuve Marguerite Bélanger (12 août 1666). pg 133
-Recollement d’inventaire des biens de feu Antoine Berson de Chatillon et de sa veuve Marguerite Bélanger (13 août 1666). pg 133

Notaire Pierre Duquet Vol II[4]
-Quittance de Marguerite Bélanger, veuve Antoine Berson dit Chastillon à François Bélanger (17 août 1665). pg 118
-Contrat de mariage de Louis Levasseur et Marguerite Bélanger, veuve Antoine Berson dit Chatillon (10 novembre 1666). pg 122

BAnQ

Comparution et déclaration du sieur de Chatillon qu'il donnerait 1100 livres pour la terre et le fief de Lotinville, selon l'arrêt ordonnant de procéder à son adjudication, en date du 23 août 1663; 23 août 1664

Description: Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Et à l'instant est comparu Antoine Berson sieur de Chatillon lequel a déclaré qu'il mettait à prix ladite terre et fief de Lothainville à la somme de onze cents livres, et a établi son domicile au logis du sieur de Lagarenne et a signé CHATILON. »[8]

Arrêt ordonnant aux marchands de payer aux sieurs de Tilly et de Repentigny, le droit de dix pour cent sur le prix de leurs marchandises foraines importées; 16 janvier 1664

Description: Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Sont comparus Charles Legardeur écuyer sieur de Tilly conseiller du Roi en ce Conseil et Jean-Baptiste Legardeur écuyer sieur de Repentigny commissaires établis à la perception du droit des dix pour-cent, lesquels ont représenté l'état qu'ils ont tenu des marchandises foraines apportées en ce pays par les derniers navires suivant les factures de chacun marchand, et que ledit dix pour-cent monte à la somme de six mille neuf cent trente-deux livres quatorze sols sans y comprendre les factures de Antoine Berson Chastillon et (...) Calteau, requérant qu'il fût dit que les marchands eussent à payer ce qu'un chacun d'eux doit de dix pour-cent sur le pied chacun de sa facture pour la répartition en être faite à qui il appartiendra, et qu'il leur fut permis de prendre sur ladite somme chacun la somme de deux cents livres laquelle leur a été réglée par le sieur Dubois Davaugour, et qu'il fût dit à cet effet que leurs quittances servissent de décharge aux marchands sur lesquels ils en prendront le payement, et à ce faire est comparu Jacques de LaMothe marchand lequel a supplié que l'on eût égard à ce qu'il n'a vendu ses toiles de Mélis que trente-six sols l'aune, le tabac de Brasil trois livres douze sols, les serges de Poitou quatre livres sept sols six deniers, les chemises de toile de Mélis trois livres six sols, qui néanmoins à prendre soixante-cinq pour-cent du prix de sa facture monteraient a beaucoup plus, et qu'ainsi il demandait diminution du dix pour-cent au prorata, le Conseil a donné acte audit sieur de LaMothe de ses dire et déclarations pour y être fait droit en temps et lieu, et au regard des deniers du dix pour-cent ordonne que les marchands et autres payeront en les mains desdits sieurs de Tilly et de Repentigny chacun à son égard ce qu'il appartiendra sur le pied de leurs factures, pour ce fait être procédé à la répartition des deniers suivant qu'il sera jugé à propos par ledit Conseil. Et en ce faisant il est permis auxdits sieurs de Tilly et de Repentigny prendre chacun la somme de deux cents livres sur lesdits deniers pour leur appointements à cause de leur commission de ladite recette.»[9]

Appel mis au néant et approbation de l'inventaire de Antoine Berson, fait par Claude Auber, notaire, à la charge d'être recollée et close par le juge de Beaupré et ordre à l'effet que Bertrand Chenay, sieur de LaGarenne se chargera des biens de la succession du dit Berson et délivrera à Marguerite Bélanger, veuve de Berson et maintenant épouse de Louis Levasseur, douaire et préciput; 30 juillet 1668

Description: Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du trentième juillet 1668. Le Conseil assemblé ou présidait messire Daniel de Rémy etc auquel assistaient messire Jean Talon, Messieurs de Villeray, de Gorribon, de Tilly, Damours et de la Tesserie le substitut du procureur général présent. Entre Louis LEVASSEUR mari en secondes noces de Marguerite Bellenger auparavant veuve feu Antoine Berson vivant habitant de ce pays appelant d'une sentence rendue par le lieutenant civil et criminel de cette ville en date du vingt-troisième du présent mois et de tout ce qui s'en est ensuivi d'une part, et Bertrand CHESNAY sieur de La GARENNE tuteur de Marie Madeleine Berson fille mineure dudit défunt et de ladite Bellenger, intimé d'autre part; après que l'appelant a dit que ladite Bellenger sa femme étant destituée de Conseil assez difficile à prendre en ce pays, désirant apporter quelque ordre aux affaires de la succession de son défunt mari, elle aurait fait procéder par Claude Auber, notaire à Beaupré à la faction de l'inventaire des biens dépendant de la succession dudit défunt en présence de François Bellenger son père et de l'intimé son beau-frère qu'elle avait appelés pour y être présents, n'y ayant aucun parent en ce pays de ladite mineure du côté paternel, mais ledit intimé depuis nommé tuteur de ladite mineure ayant appris que quelques formalités qu'il prétend nécessaires avaient été omises à la faction dudit inventaire a fait ordonner par le juge prévôt de la seigneurie de Beaupré domicile des parties, qu'il serait procédé à la faction dudit inventaire en présence du procureur fiscal de ladite seigneurie à faute de parents paternels de ladite mineure, à quoi il ne doit être reçu, d'autant que ladite Bellenger a fait ce qu'elle a cru être obligée et que l'astraignant à faire procéder à nouvel inventaire, ce serait la réduire à consommer en frais et dépense inutile le peu de bien qu'elle peut avoir, pourquoi il conclu à ce qu'il soit ordonné que les inventaires faits valideront nonobstant les défauts de formalités qui s'y pourraient rencontrer, et en ce faisant que ladite communauté demeurera résolue du jour et date de l'inventaire des meubles, comme aussi que ledit intimé se chargera des biens de ladite succession et fera délivrance à ladite Bellenger de la somme de deux mille livres pour son douaire, de celle de six cents livres à elle appartenante de préciput, de celle de six cent quatre-vingt livres que ledit défunt a reçue de partie de son dot, de la part qui lui appartient en la communauté qui était entre ledit défunt et elle, et de ce qu'elle justifiera avoir apporté avec ledit défunt. Et que ledit intimé a dit qu'il ne sait pas si tous les effets mobiliers de ladite succession ont été compris audit inventaire et s'il n'en a point été fait d'omission, pourquoi et pour avoir été ledit inventaire fait sans le procureur fiscal pour l'absence des parents paternels de ladite mineure, sans tuteur ni curateur nommé, sans serment prêté par ladite Bellenger, et sans clôture qui sont des nullités essentielles, il soutient que ledit inventaire ne doit avoir lieu et qu'il y doit être procédé tout de nouveau en gardant les formalités susdites. à raison de quoi il conclu à ce que ledit appelant soit débouté de son appel et condamné aux dépens, vu ladite sentence dont est appel signée Rageot par laquelle est ordonné qu'à la diligence de l'appelant les inventaires des biens dudit défunt et de ladite Bellenger seraient rapportés par-devant le juge prévôt de la juridiction de Beaupré pour être clos en présence du procureur fiscal de ladite juridiction, serment pris de ladite Bellenger si elle a diverti quelques effets de la succession dudit défunt, et attendu la continuation de communauté, qu'au partage qui sera ensuite fait, entre ladite Bellenger et ladite Marie Madeleine Berson, entreront le revenu des immeubles et les augmentations par ladite Bellenger faites sur lesdits immeubles pendant sa viduité, sauf à compter et employer par ledit LeVasseur les deniers de la vente des meubles qui ont été employés aux travaux, le tout du consentement des parties sans dépens; sentence rendue par ledit juge prévôt de Beaupré en date du onzième du présent mois signée Auber greffier, par laquelle attendu les nullités qui se rencontrent lesdits inventaires, est dit qu'il serait procédé à la faction de nouvel inventaire desdits biens, et défenses faites audit appelant de troubler ni empêcher ledit intimé en l'exercice de sa charge de tuteur, à peine de vingt livres d'amende; requête par ledit LeVasseur présentée en ce Conseil aux fins d'être reçu appelant de la sentence dudit lieutenant civil et criminel nonobstant le consentement par lui prêté à icelle, contenant les raisons par lui alléguées pour être restitué à l'encontre de ladite sentence, et les causes et moyens de son appel, au bas de laquelle est arrêt de ce Conseil en date du vingt-quatrième du présent mois par lequel ledit LeVasseur est reçu appelant nonobstant sa prestation de consentement, signifié audit intimé le même jour par LeVasseur huissier suivant son exploit; inventaire des biens meubles de ladite succession fait par ledit Auber, notaire audit Beaupré le quatrième juillet mille six cent soixante-cinq, à la requête de ladite Bellenger, en présence de François Bellenger son père et aïeul de ladite mineure, et dudit intimé oncle maternel de ladite mineure depuis nommé son tuteur appelés pour être présents à la faction dudit inventaire pour la conservation de l'intérêt de ladite mineure; autre inventaire fait par ledit Auber le douzième août 1666 des immeubles de ladite succession; déclaration faite par ledit Bellenger par-devant ledit Auber notaire le treizième août audit an 1666, contenant ce qui est dû à chacun des créanciers de ladite succession, sentence dudit juge prévôt de Beaupré en date du onzième juillet mille six cent soixante-cinq, par laquelle est dit qu'à la requête du substitut du procureur fiscal de ladite juridiction il serait procédé au scellé des coffres, cabinets et autres choses fermant a clef, pour être ensuite vaqué à la faction de l'inventaire des meubles et papiers de ladite succession; autre sentence dudit juge en date du quatrième novembre mille six cent soixante-six, par laquelle ledit Chesnay est nommé tuteur de ladite mineure; contrat de mariage passé entre ledit défunt Berson et ladite Bellenger par-devant Audouart ci-devant notaire en cette ville en date du neuvième septembre mille six cent soixante-trois par lequel appert qu'ils étaient en communauté de biens et que ledit François Bellenger s'obligeait en faveur dudit mariage donner audit feu Berson dans quatre mois la somme de mille livres, de laquelle les deux tiers devaient entrer en communauté et l'autre tiers tenir nature de propre à ladite Bellenger, qu'il lui est accordé la somme de deux mille livres de douaire préfix ou le coutumier à son choix, et la somme de six cents livres de préciput au survivant, et que les biens dudit feu Berson consistaient en la somme de trois mille livres provenant de la succession de feu son père laquelle lui devait et aux siens tenir nature de propre, et en la somme de mille livres provenant de ses acquêts, au bas duquel contrat de mariage est une déclaration par ladite Bellenger faite, que sondit défunt mari avait reçu dudit Bellenger son père la somme de six cent quatre-vingt livres en déduction de la somme de mille livres contenue audit contrat, ladite déclaration en date du dix-septième août mille six cent soixante-cinq; lettre missive écrite de Paris le vingtième mars mille six cent soixante-sept à ladite Bellenger, signée Regnault et Molin, par laquelle appert lesdits Regnault et Molin être beau-frères de ladite Bellenger à cause de sondit défunt mari, et qu'ils approuvaient ce qui avait été par elle fait après le décès dudit défunt, et avoir payé au sieur Robin porteur de procuration de ladite Bellenger, la somme de cent trente et une livres six sols dix deniers de rente de la somme de deux mille trois cent soixante-quatre livres quatre sols cinq deniers, due à ladite mineure par ledit Regnault à prendre sur un contrat de cinq mille quatre cents livres, avec avis à ladite Bellenger de faire recevoir tous les ans ladite rente dudit sieur Regnault, et pour ce faire d'envoyer quittance dudit Chesnay; exploit de sommation faite par l'huissier Romainville audit Chesnay à la requête dudit LeVasseur de mettre ladite Bellenger en possession du douaire à elle constitué par sondit contrat de mariage, et de lui faire partage de sa part des biens de la communauté qui était entre ledit défunt et elle. Parties ouïes et ouï sur ce le substitut du procureur général, le Conseil a mis l'appel et ce dont a été appelé au néant, et sans avoir égard aux dites sentences desdits juge de Beaupré et lieutenant civil en la juridiction de Québec, a validé et valide lesdits inventaires faits par Claude Auber notaire en ladite seigneurie de Beaupré, ce faisant a déclaré et déclare la communauté d'entre ledit défunt Berson et ladite Bellenger résolue du jour et date de l'inventaire des meubles de ladite succession, à la charge néanmoins qu'il sera récolé et clos dans un mois par-devant ledit juge de Beaupré en présence tant dudit intimé que du procureur fiscal en ladite seigneurie ou son substitut, et que lesdits LeVasseur et sa femme se purgeront par serment de bien et fidèlement enseigner tous les effets omis audit inventaire en cas qu'il y en aie aucun, et au surplus des demandes desdits LeVasseur et sa dite femme, ledit Conseil a ordonné et ordonne que ledit sieur de LaGarenne se chargera des biens appartenants à la succession dudit Berson, et fera délivrance audit LeVasseur et sa femme des douaires, préciput, et tout ce qu'elle justifiera avoir apporté, conformément à ses conventions matrimoniales portées par ledit contrat de mariage, en rendant par lesdits LeVasseur et sa dite femme bon et fidèle compte audit sieur de LaGarenne de l'administration qu'elle a eue des biens appartenant à ladite succession. COURCELLE TALON, ROUER DE VILLERAY GORRIBON, DAMOURS TESSERIE»[10]

Procès de Charles de Couagne, marchand de Montréal et de Nicolas Janvrin Dufresne, marchand à Montréal; 28 juin 1690 au 15 mars 1707

Description: Ce dossier en matières civiles provient de la Juridiction royale de Montréal et du Conseil supérieur de Québec. Il comprend une quittance de Nicolas Janvrin Dufresne, français demeurant en Canada en l'Amérique, au nom de son épouse, Marie Madeleine Berson, native de Québec audit pays de l'Amérique, fille unique de défunt Antoine Berson, ayant résidé à Québec et de Marguerite Bélanger, à Pierre Regnault (Renaud), marchand bourgeois de Paris, pour une somme de 2364 livres, 3 sols et 5 deniers (acte de Pasquiers, notaire à Paris); une requête adressée au Conseil supérieur de Québec; une lettre dudit Regnault adressée à Dufresne; une ordonnance de l’intendant Beauharnois; des exploits de signification; un exploit d’assignation; une sentence de la Juridiction royale de Montréal au profit de Charles de Couagne; une sentence d’arbitre; des comptes; un extrait du livre brouillard (livre de compte) des affaires de Dufresne, marchand, daté de 1696; une défense; un billet; un extrait des registres du Conseil souverain de deux arrêts, l'un qui met l'appel de la sentence de la Juridiction royale de Montréal, du 13 novembre 1704, intervenue entre Dufresne et Couagne, au néant et un autre daté du 8 mars 1706[11]

Fichier origine

BERSON / CHATILLON, Antoine 300006
Date de naissance: Vers 1637
Lieu d'origine: Paris (Seine) 75056
Lieu actuel: Paris
Parents: Eustache et Madeleine Pescheur
Métier du père: Marchand
Date de mariage des parents: 08-02-1626 cm
Lieu de mariage des parents: Me Bolx, notaire au Châtelet, Paris (75056)
Première mention au pays: 1657
Occupation à l'arrivée: Marchand
Date de mariage: 19-11-1663
Lieu du mariage: Château-Richer
Conjointe: Marguerite Bélanger
Décès ou inhumation: Château-Richer, avant juillet 1665
Remarques: L'inventaire après-décès de son père, marchand-bourgeois demeurant rue de la Vieille-Monnaie, paroisse St-Jacques-de-la-Boucherie est dressé par les notaires Gerbault et Restauré à Paris le 22-05-1651. Deux frères et deux soeurs sont nés à Paris : Madeleine, en 1629 ; Alphonse, en 1634 ; Eustache, en 1641, cm 23-05-1694 notaire Jean Desgranges à Paris, avec Madeleine Lebran, veuve de Léonard Delaitre ; et Marie, en 1644.[12]

Actes notariaux de Paris

BERSON, Antoine, né à Paris (Saint-Jacques-de-la-Boucherie) vers 1637, marchand arrivé au Canada en 1657. Fils d’Eustache et de Madeleine Pescheur. (DGFQ, p. 92) (FO-30006)

Frères et soeurs : Madeleine née en 1629 ; Alphonse né en 1634 ; Eustache né en 1641 et Marie née en 1644.
Contrat de mariage des parents :
Le 08.02.1626 devant Jacques Belin, Étude LVII
Eustache Berson, marchand de la paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie et Madeleine Pescheur de la ville de Paris.
Inventaire après décès de son père :
Le 22.05-1651 devant Étienne Gerbault et … Restauré, Étude II
Eustache Berson, marchand bourgeois, demeurant rue de la Vieille-Monnaie, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie.
Contrat de mariage de son frère :
Le 23.05.1694 devant Jean Desgranges, Étude XV 338
Furent présent Eustache Berson, commis aux Aides, demeurant rue Guérin-Boisseau, paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, fils de défunt Eustache, marchand à Paris, et Madeleine Pescheur, sa femme, et Madeleine Lebran, veuve de Léonard Delaitre, marchand en la ville d’Arras, demeurant rue de la Cordonnerie, paroisse Saint-Eustache. Ils seront communs en biens. Pas de dot apportée. 50 livres de douaire préfix pour la future épouse. Pas de témoins de leur famille.
Ils signent tous les deux.[13]

Sources

  1. 1.0 1.1 1.2 Dictionnaire généalogique des familles du Québec des origines à 1730, René Jetté, avec la collaboration du PRDH, 1983, Presses de l'Université de Montréal, pg 92 (Berson) (membership IGD)
  2. 2.0 2.1 2.2 2.3 Rapport de l'Archiviste de la province de Québec 1955 1955-1957 / P. Archange Godbout, Nos ancêtres au XXVII siècle (suite) Bédard - Bissonnet commence pg 376 - fin pgs 428-9
  3. 3.0 3.1 3.2 BAnQ (PDF): Tanguay, Cyprien, Dictionnaire Généalogique des Familles Canadiennes depuis la fondation de la colonie jusqu'à nos jours; Montréal, 1887 (7 volumes) Vol 1 pg 46
  4. 4.0 4.1 4.2 4.3 4.4 BAnQ Notarial acts index Inventaire des greffes des notaires du régime français, par Pierre Georges Roy et Antoine Roy; 27 Vol + index 1-8
  5. Mariage IGD
  6. Quebec, Vital and Church Records (Drouin Collection), 1621-1997 - Drouin IGD
  7. Bapt. Jeanne Verdon IGD
  8. 23 août 1664 Cote : TP1,S28,P1815 Fonds Conseil souverain - BAnQ Québec Id 401904
  9. 16 janvier 1664 Cote : TP1,S28,P62 Fonds Conseil souverain - BAnQ Québec Id 398479
  10. 30 juillet 1668 Cote : TP1,S28,P584 Fonds Conseil souverain - BAnQ Québec Id 400286
  11. 28 juin 1690 au 15 mars 1707 Cote : TL5,D352 Collection Pièces judiciaires et notariales - BAnQ Québec Id 387546
  12. Fichier Antoine Berson 2019 Fédération québécoise des sociétés de généalogie//Québec Federation of Genealogical Societies
  13. Les familles pionnières de la Nouvelle-France dans les archives du Minutier central des notaires de Paris, Présentées et annotées par Marcel Fournier, Auteur Jean-Paul Macouin, Société de recherche historique Archiv-Histo, 2016. pg 26
  • Actes d'état civil et registres d'église du Québec (Collection Drouin), 1621 à 1997 - Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection: Institut Généalogique Drouin IGD (membership) https://www.genealogiequebec.com
  • BAnQ: Bibliothèque et Archives nationales du Québec/Québec National Library and Archives http://www.banq.qc.ca/accueil/




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