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Suzanne Guilbault variation: Guillebault
Parents inconnus. Née vers 1613 d'après un contrat signé en 1659 (46 ans), 57 ans en 1666 et 50 en 1667, 60 ans sur sa sépulture en 1672.
La première mention de Suzanne Guilbault dans la colonie est lors de la sépulture de son fils Jacques en décembre 1647 à Québec.[1]
Le 3 septembre 1651 elle est marraine de Suzanne Badeau, fille de Jacques Badeau et d'Anne Ardouin, à Québec (ND)[1]
Permission accordée à Claude Fezeret pour quitter la colonie . - 2 novembre 1710
Ils semblent repasser en France après octobre 1652.
Claude Fezeret et Suzanne Guillebault signent un contrat d'engagement à La Rochelle, où ils demeurent, en 1659, il est maître serrurier âgé de 54 ans et elle a 46 ans, le recruteur étant Maître Jérome Leroyer pour l'abbé de Queylus. Il était déjà à Montréal donc il signe un second contrat. Ils demandent une avance pour payer le passage plus 100 livres pour achats et promettent de le rendre en servant de Queylus ou en faisant des travaux pour lui.[4]
Elle arrive avec sa famille à Montréal en Nouvelle-France en 1659 à bord du St-André.[5][6]
Quittance de Susanne Guilbault, épouse de Claude Fezeret, à Pre Denis de la Ronde pour et à l’acquit du Sr de la Broquerie (15 octobre 1663). Vol I pg 115 Notaire Guillaume Audouart (Québec)[3]
Recensement 1666 Census: Île de Montréal
Recensement 1667 Census: Île de Montréal
Le 19 septembre 1667 à Notre-Dame de Montréal, Catherine Moitié, domestique de Mons Lemoyne, fille de feu Jacques Moitié, vivant sergeant royal à la Norbilée (?), et de Françoise Langevin de la paroisse de Ste-Marguerite de La Rochelle, épousa Désiré Viger, domestique de Mons Lemoyne, fils de Nicolas Viger et de Robine Lessart, de la paroisse de St-Sauveur de Rouen, en présence de Jacques Lemoyne marguillier de la paroisse, François Feraud lieutenant aide-major du régiment Carignan-Salières, Michel Messier habitant, René Fezeret, Pierre Caillé tailleur d'habit, Suzanne Guilbault veuve de Claude Fezeret et cousine de la dite Moitié, Marie Le Ber fille du roy, et Geneviève Laisné, tous amis communs des dits partis, le prêtre célébrant étant Gilles Perot[8], les époux ne pouvaients signer, plusieurs des témoins ont signé avec le prêtre.
Vente de Suzanne Guillebout et René Fezeret aux Filles de la Congrégation (29 août 1668). Vol I pg 190 Notaire Bénigne Basset (Montréal)[3]
Elle est présente au mariage de son fils René Fezeret le 11 novembre 1670 à Montréal (ND)[1]
Décès
Suzanne Guilbaut, veuve de Claude Fezeret, est inhumée le 21 avril 1672 à Montréal (ND), prise à l'hôpital. L'acte lui donne 60 ans.[9]
Catherine Moitié arrive à Québec le 30 juin 1663 à bord du vaisseau Le Phoenix de Flessingue[12] avec sa soeur Marguerite, toutes deux filles du roy. Elles avaient été précédées au pays par leur cousine Suzanne Guilbault et son époux Claude Fezeret et leurs enfants René et Jacques Fezeret. Elle ne savait pas signer.[13]
Catherine Moitié: fille de Jacques Moitié, vivant sergeant royal à la Norbilée (?), et de Françoise Langevin de la paroisse de Ste-Marguerite de La Rochelle (d'après l'acte de mariage de Catherine cité ci-haut). Il n'est pas précisé si elles sont cousines germaines ou non. Catherine Moitié est née en 1649 à La Rochelle.
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Profile created by Robert Blais, Sunday, September 7, 2014.
Featured German connections: Suzanne is 21 degrees from Johann Wolfgang von Goethe, 27 degrees from Dietrich Bonhoeffer, 26 degrees from Lucas Cranach, 24 degrees from Stefanie Graf, 23 degrees from Wilhelm Grimm, 26 degrees from Fanny Hensel, 28 degrees from Theodor Heuss, 20 degrees from Alexander Mack, 36 degrees from Carl Miele, 20 degrees from Nathan Rothschild, 25 degrees from Hermann Friedrich Albert von Ihering and 22 degrees from Ferdinand von Zeppelin on our single family tree. Login to see how you relate to 33 million family members.