Pierre Levasseur, son of Noël Levasseur and Geneviève Ganche/Gaugé, married Jeanne de Chaverlange, daughter of Antoine de Chaverlange and Marthe Guérin, on 25 Oct 1655 in chapelle du collège de la Compagnie de Jésus (Jesuits' college chapel), Québec[1]
7 known children from this marriage, 6 known to marry[2]
Recensement 1667 Census: Québec
Pierre Levasseur, 40 ; Jeanne de Chaverlange, sa femme, 30 ; Françoise, 11 ; Margurite, 9 ; Pierre, 6 ; Jeanne, 3 ; Félicité, 6 mois.[3]
Recensement 1681 Census: Haute Ville de Québec
Pierre Levasseur, menuisier, 52 ; enfants : Pierre 21, Jeanne 18, Félicité 15, Antoine 13, François 10 ; 1 vache ; 12 arpents en valeur.[4]
Death
No funeral record has been identified as hers, she is still living when her daughter Françoise marries Jean Baptiste Gosset on 10 Jun 1677, but is absent from the 1681 census, and subsequent marriages list her as deceased[2]
Witness at a trial
Jeanne Chaverlange was witness at a trial for assault in 1675.
Jugement condamnant Charles Marquis et Marguerite Cousin, sa femme, à 20 sols d'amende pour avoir maltraité de coups Léonard Dubord dit Lajeunesse . - 26 août 1675
Portée et contenu
Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Entre Léonard DUBORD dit LAJEUNESSE demandeur en requête d'une part, et Charles MARQUIS et Marguerite COUSIN sa femme défendeurs d'autre; vu ladite requête par laquelle le demandeur expose que jeudi dernier sur les six heures du soir revenant de la basse-ville et passant devant la maison des défendeurs, ladite Cousin sans aucun sujet se jeta sur lui le traitant de fripon, de banni et de voleur, et que Charles Palentin dit Lappointe n'avait point d'honneur s'il ne le rossait et qu'elle lui en ferait donner, de quoi il aurait fait sa plainte et ses poursuites le même jour par-devant le lieutenant général de cette ville qui remit l'affaire au lendemain à l'audience, auquel jour ayant fait assigner ledit défendeur, il n'en put néanmoins obtenir de justice, ledit lieutenant général lui disant que ladite femme était une folle qui mériterait d'être mise aux petites maisons, qu'il s'accommodât avec elle et qu'il payerait plutôt les frais des huissiers, qu'étant sorti sur l'escalier ladite femme se serait jetée à ses cheveux dont elle lui en aurait arraché une bonne partie pourquoi il serait rentré pour s'en plaindre mais inutilement, ledit lieutenant général ne l'ayant voulu entendre et lui ayant dénié la justice, requérant le demandeur qu'il lui fut permis d'en informer, ce qui lui aurait été accordé par ordonnance du Conseil étant ensuite de ladite requête, ouï les défendeurs sur l'exposé en ladite requête, ouï aussi Louis Lévêque, Jean Robert Duprat et Pierre Hulin témoins produits par le demandeur, lesquels après serment en tel cas requis par eux prêté en la présence des parties, et qu'ils ont été non valablement reprochés, ont dit, savoir ledit Lévêque, que jeudi dernier étant à son atelier de la bâtisse de la maison du sieur de La Martinière, il vit le demandeur qui marchait dans la rue et ladite femme qui sortit de sa maison et lui dît qu'il était un coquin et un fripon, qu'il était entré par derrière en sa maison pour suborner et forcer une femme qui y était, et l'aurait frappé sans son mari qui l'en empêcha, que ledit demandeur lui répondit en ces termes, je ne sais pas à qui tu en as, à quoi le défendeur lui dît comme tu parles; et ledit demandeur répondit je lui parle comme elle me parle, que ladite femme lui demandait ce qu'il faisait pour vivre et lui reprochait qu'il ne faisait rien, sur quoi il lui aurait dit qu'elle ne s'en devait pas mettre en peine et qu'on le connaissait bien. Ledit Duprat que s'en retournant de voir faire l'exécution de Deslauriers il vit le demandeur qui passait et fut traité de coquin par la défenderesse qui lui reprochait qu'il avait voulu aller chez elle pour suborner une femme, et voulut sortir mais fut retenue par son mari. Et ledit Hulin, qu'il a vu la défenderesse traiter le demandeur de coquin et lui défendre sa maison lui disant qu'il avait voulu suborner une femme dans son jardin, qu'elle se serait jetée à lui pour le prendre aux cheveux, de quoi elle aurait été empêchée par le défendeur son mari. Ouï aussi Charlotte de Lacombe femme de Antoine Caddé et Jeanne Chaverlange femme de Pierre LeVasseur qui ont dit avoir vu ladite LeMarquis prendre aux cheveux ledit Lajeunesse à la porte de la chambre de l'audience de la juridiction ordinaire de cette ville, et son mari lui avoir fait sauter avec un baston son chapeau qu'il tenait au bout de son baston, ouï sur ce le procureur général en ses conclusions, tout considéré. Le Conseil a condamné et condamne lesdits défendeurs en vingt sols d'amende, et aux dépens défenses à eux de récidiver sous telle peine que de raison.» .[5]
Biographie
CHAVERLANGE (de), Jeanne
Naissance: Ca 1637 à paroisse St-Ursin Bourges Berry 18 France
Parents: Fille d'Antoine et Marthe GUÉRIN
Décès: Avant le recensement de 1681
Mariage avec LEVASSEUR dit L'Espérance, Pierre
Maître menuisier
N: Ca 1627 à Saint-Leu-et-Saint-Gilles, Paris 75 France
D: 12/03/1694 à l'Hôtel-Dieu, Québec
Fils de Noël et Geneviève Gaugé
Mariage le 25/10/1655 Québec, en la chapelle du collège de la Compagnie de Jésus (Jésuites)[6]
Profile created by Robert Blais, Monday, July 21, 2014.
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Featured Asian and Pacific Islander connections:
Jeanne is
22 degrees from 今上 天皇, 18 degrees from Adrienne Clarkson, 22 degrees from Dwight Heine, 18 degrees from Dwayne Johnson, 19 degrees from Tupua Tamasese Lealofioaana, 20 degrees from Stacey Milbern, 13 degrees from Sono Osato, 29 degrees from 乾隆 愛新覺羅, 23 degrees from Ravi Shankar, 24 degrees from Taika Waititi, 24 degrees from Penny Wong and 18 degrees from Chang Bunker
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