Baptême: Marguerite Gagnon est baptisée en France le 5 octobre 1598, filleule de Nicolas Roger, Françoise Roger et Antoinette, femme d'Olivier Gagnon, en l'église Saint-Aubin de Tourouvre située dans le diocèse de Chartres et l'ancienne province du Perche.[1][2][5]
Migration en Nouvelle-France:
Elle migra vers le Canada en 1643 avec son époux, leurs deux enfants (Marie et MargueriteTavernier), sa mère Renée Roger et sa nièce Marthe Gagnon.[2][3][7] Ils joignent les deux frères de Marguerite Gagnon, Pierre Gagnon et Jean Gagnon, qui avaient migra vers le Canada en 1640.[2]
Recencements:
La famille de Marguerite Gagnon figure ainsi dans les énumérations pour Beaupré du recensement de 1666 1667 et 1681:
- 1666: Marie Tavernier, 34, veuve du sieur Gilles Bacon ; Marguerite Gagnon, 59, sa mère ; Eustache Bacon, 15 ; Marie, 13.[8]
↑ Tourouvre (INSEE 61491) est aujourd'hui connu comme la commune française située dans le département de l'Orne en région Normandie.
↑ La Ventrouze (INSEE 61500) est aujourd'hui connu comme la commune française située dans le département de l'Orne en région Normandie.
↑Lesperance 2002 citant Jetté, p. 1065: "TAVERNIER (or LETAVERNIER), Eloi with wife Marguerite GAGNON from Tourouvre (daughter of Renee GAGNON nee ROGER) & children Marguerite & Marie (became a nun) departed Randonnai probably 1643."
↑Picard (2007), p. 10: « Tout d’abord, ceci isole étrangement Gagnon de Gagné, qui provient de l’ancien français gaaigne ‘terre labourable’, ainsi que de ses nombreux dérivés dont la plupart signifient ‘laboureur’. Morlet cite Gagnant, Gagné, Gagnaire, Ga(i)gneux, Gagneur, Gagneor, Ga(i)gnoux, Gagnadour, Gagnedour, Ga(i)gn(i)er, Gagneron, Gagneret, Ga(i)gnerot, Gagnereau, Gagneraud, Gagnot, Ga(i)gnet, Gagneau, Gaigneaud, Gagnault, Gagn(i)ère, Gagnerie, et il en existe surement d’autres. . . . les premiers Gagnon étaient originaires de la Basse-Normandie, la même région d’où venaient les Gagné, ce qui semble indiquer que les deux patronymes étaient à l’origine des surnoms de laboureurs. »
- « 1666, État Général des Habitants du Canada en, », compilé par Senécal, Jean-Guy ; Sep 27, 1998 , compilation OCR de trois documents Word disponible en ligne, ses documents se réfèrant principalement au Tome IV & V, Chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Française de Benjamin Sulte, édition 1977.
- Dionne, Narcisse-Eutrope (1914). Les Canadiens-français - origine des familles émigrées de France, d'Espagne, de Suisse, etc., pour venir se fixer au Canada, depuis la fondation de Québec jusqu'à ces derniers temps et signification de leurs noms
- Jetté, René (1983). Dictionnaire généalogique des familles du Québec. Des origines à 1730. Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal. xxx-1180 pages
- Lemieux, Louis-Guy,
- Lesperance, Jerry (December 2002). Le Perche, Vermont French-Canadian Genealogical Society
Featured Auto Racers:
Marguerite is
22 degrees from Jack Brabham, 22 degrees from Rudolf Caracciola, 14 degrees from Louis Chevrolet, 19 degrees from Dale Earnhardt, 34 degrees from Juan Manuel Fangio, 20 degrees from Betty Haig, 23 degrees from Arie Luyendyk, 21 degrees from Bruce McLaren, 18 degrees from Wendell Scott, 17 degrees from Kat Teasdale, 19 degrees from Dick Trickle and 25 degrees from Maurice Trintignant
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